Marketing de Réseau l’histoire de la Basquette
C‘est cool les basquettes, perso surtout les « Converses ». Mais bon, on ne va pas s’arrêter à une marque. Que ce soit des Nike, Reebok, Addidas, Asix etc. Prenez quelqu’un au hasard dans la rue, homme ou femme. Offrez-lui une paire de la marque de son choix à la condition qu’il la mette de suite aux pieds. Quatre-vingt-dix-neuf pour cent des personne vont vous dire Ok et agir avec un sourire
Par contre une fois qu’ils ont tous les chaussures aux pieds, demandez leurs à présent de courir un cent mètre.
Ils vont vous rire au nez et vous aurez beau vous justifier de la qualité des chaussures, la majorité des personnes vont vous envoyer chier !
Vous leurs avez pourtant offert les chaussures qu’ils ont accepté, ce qui vaut bien un petit effort de leur part … Non ?
La majorité des personnes qui refusent de courir ce cent mètres, vont vous dire pour x raisons qu’elles n’ont pas envie. Par contre toutes veulent bien garder les chaussures au pieds. Comme c’est des chaussures de prix, une minorité veut bien vous les rendre. Par contre la majorité veut les garder sans effectuer la course des cent mètres !
Ceux qui refusent de courir vont prétexter qu’ils ne font pas de sports, qu’ils sont trop jeune ou trop vieux, qu’ils ont des corps aux pieds, qu’ils sont malade ou en mauvaise santé, qu’ils n’ont pas le temps, qu’il fait trop chaud ou trop froid, qu’on les attends etc. Enfin bref, ils vont trouver toutes les raisons de la terre pour garder les chaussures et ne pas effectuer les cent mètres !
Hitler passe par là (C’est une boutade) et il met un pistolet sur la tempe d’une personne au hasard et il demande à celle-ci de commencer à courir. La personne avec le sourire va lui demander si c’est une surprise, si c’est pour la TV ? Elle ne va pas prendre la personne au sérieux. Par contre si cette personne tire un balle dans la tête de l’individu en question. L’exemple fera que tous les autres vont commencer à courir ces cent mètres sans que le « Nazi » ait eu besoin de les rappeler à l’ordre. Étrange n’est-ce pas ?
Gandhi passe par là et demande la même chose aux personnes en leur disant que le fait de courir ces cent mètres ça va aider et motiver des infirmes à garder courage vis-à-vis de leurs conditions par la diffusion du reportage qui va être tourné de leurs exploits. Pour la majorité et malgré ce qu’ils ont prétexté au départ comme excuses, ils vont tous accepter de courir parce que c’est pour une bonne cause. (Car « Eux » ils ne sont pas dans un fauteuil Roulant !)
En Marketing de Réseau, vous n’avez pas d’Hitler ou de Gandhi derrière vous pour vous pousser à courir. Si vous ne vous faites pas Violence vous-mêmes régulièrement ou que vous ne trouvez pas en vous la bonne cause qui va vous faire avancer (Focus ou motivation) et bien vous ferez du sur-place malgré que vous ayez d’excellentes chaussures aux pieds ! (C’est à dire la bonne Compagnie)
Pour aller plus loin, on va tenter d’analyser la situation de la crise actuelle vis-à-vis de son évolution et des solutions proposées. Pour commencer nous allons ici mettre un résumé d’article du Survivaliste intitulé « Retour à l’essentiel » dont voici la source vers l’article en question.
« Pour la plupart d’entre nous, et peu importe nos convictions politiques, notre statut social ou la culture pollinisatrice qui anime nos vas et viens, notre univers ambiant, soit cette machine lourde d’opulence et d’engrenages complexes et complexés, présente une multitude de symptômes plus ou moins parasitaires selon nos sensibilités et la qualité de notre écoute.
Plus inquiétant, et si nous considérons la totalité de la mécanique qui gère et digère notre niveau de confort et de stabilité au quotidien, nos constructions humaines semblent aujourd’hui plus que jamais se borner a la schizophrénie, la dysfonction, l’incohérence et l’autodestruction.
Raréfaction des ressources, névrose sociale, urbanisation massive, surconsommation, spéculation bancaire, agriculture intensive, homogénéisation et dégénérescence intellectuelle, stratégies évolutives d’ordre par le chaos, choc des civilisations, conflits et guerres civiles, dette, pollution, oppression, précarisation, paupérisation, spoliation, violence, inflation, insécurité, chômage, malbouffe … c’est un flux persistant et exponentiel de mauvaises nouvelles, toutes capables, séparément ou agglomérées, de cristalliser sur un présent déjà turbulent pour des millions, un futur difficile et incertain.
Pour faire court : les mauvaises nouvelles s’accumulent …
Durant une situation ou le danger est non seulement perceptible mais aussi palpable dans l’immédiat : la morsure d’un chien, l’incendie au domicile, la confrontation physique ou encore la noyade … notre corps organise une réponse automatique, rapide et globale pour optimiser ses chances de survie, en plongeant plus ou moins directement dans son arsenal d’outils de protection personnelle, soit son héritage pré-historique (c’est a dire avant le moi) de solutions chimiques et biologiques codifiées.
Cet essentiel d’actions et de priorités réactives, réflexives et instinctives, est souvent lié a une mécanique plus ou moins efficace et grossière de fuites, de tétanisations, et d’apnées combatives parfois nécessaires et justifiées par la nature de la situation : « si la vie était un jeu, la seule règle serait de survivre. »
Notre héritage d’instincts, de comportements et de réflexes, naturellement et finalement concerné par la survie de notre conscience, ne peut être qu’une stratégie de « non-choix » face aux risques habitants notre univers … et pour limiter notre contact a ce champ d’action précaire qu’est la réactivité brute et immédiate, nous avons, comme beaucoup d’autres espèces, développé et murit une multitude de stratégies beaucoup plus souples qu’un unique potentiel réactif.
Ces stratégies souples peuvent influencer, réduire ou éliminer les risques et tensions liées au manque et la carence, la confrontation, les dangers naturels, technologiques, ou encore les risques économiques, géo-politiques et sociaux capables de déstabiliser notre normalité et de nous mettre en péril.
Ce sont tout ces autres outils et composants a notre disposition, pouvant appréhender, anticiper, prévoir et surtout minimiser des risques parfois indirectes ou asymétriques, c’est a dire pouvant être décalés dans le temps et l’espace.
Par exemple, au lieu de rester sur une dynamique unique de prélèvement comme la chasse, la pêche et la cueillette pour notre subsistance, notre espèce va progressivement adopter des stratégies plus souples de production, notamment au travers de l’agriculture, de l’élevage et du stockage des surplus pour minimiser le risque de famine, et stabiliser le rapport entretenu dans le temps avec notre environnement.
Tout au long de notre histoire, nous avons, plus ou moins maladroitement et a des degrés plus ou moins subtils, oscillé entre des périodes de prospérité et des périodes de troubles … entre des périodes d’élans stratégiques, et des périodes d’apnées combatives.
Seulement … Comment qualifier notre présent ?
Comment lire, interpréter et comprendre, ne serait-ce qu’intuitivement, cette modernité aux couleurs schizophrènes ou nous ne sommes pas en état de guerre déclarée, mais ou notre taux de suicide est exorbitant ?
Ou les rayons gargantuesques de nos hypermarchés débordent de calories, mais ou la nourriture est devenue polluée et polluante ?
Ou la machine médicale est capable de dégourdir et de restructurer la vie, mais ou la vie est engourdie et déstructurée par la machine ?
Ou nos villes et nos campagnes sont noyées d’iphones et de connections numérisées, mais ou la solitude et la déconnexion des sens sont devenues maladies courantes ?
Ou chaque citoyen, surtaxé, culpabilisé, saboté et fatigué, doit contribuer au bonheur de son voisin au nom de la division et du partage, mais ou personne n’est entier, debout, volontaire, indépendant et responsable de son propre bien-être ?
Serions nous face a un risque bien plus large et structurel qu’un quelconque effondrement économique, énergétique, écologique, technologique ou politique ?
Serions nous face a l’effondrement de la conscience de l’Homme, si lente, perverse et progressive, qu’il nous est difficile de réaliser la nature même et l’ampleur du malaise ambiant ?
Dans la vie, il n’y a pas de solutions, il y a des forces en marche disait Antoine de Saint-Exupéry … Et ces forces il faut les créer.
Ressentir ou percevoir une incertitude quant a la santé et la direction de notre monde moderne est une chose … Mais décider de devenir les acteurs de notre propre bien être, et non des spectateurs, des victimes ou des boulets, décider de créer une force intime capable non pas de se confronter a d’autres forces, mais de construire en parallèle, et ceci de manière souple et durable, me semble être un Aïkido adapté au paradigme ambiant et aux défis futurs.
Nous parlons souvent de survivre a « l’événement » … Et cette condition involontaire d’apnée combative est indiscutablement de notions plus ou moins primaires et nécessitants un certain développement, mais nous ne considérons que trop rarement des stratégies de réduction intelligente du risque, et la construction, résiliante et durable, d’un univers de jeu beaucoup moins sensible aux sursauts d’une machine de plus en plus complexe et tordue.
Pour beaucoup, les solutions et les échappatoires traditionnels seront intuitivement liés a une certaine forme de réussite économique, soit une réaction brute et primaire aux problématiques perçues. « Le Loto » pouvant tout effacer, tout solidifier, tout construire et tout solutionner … Non pas en terme de pouvoir d’achat, mais bien en terme de libertés. Car au fond, ce qui nous préoccupe réellement n’est pas la grandeur de notre maison, la quantité de choses possédées ou la puissance motrice de notre voiture, mais bien la place et le rôle que nous pensons occuper au sein du collectif … Et par défaut de conscience ou d’intelligence, beaucoup semblent encore confondre l’un et l’autre.
Pour la plupart d’entre nous, il n’est pas question de devenir riche économiquement parlant, mais « libre » et maître de notre condition … Et cette intention de liberté, si paradoxale, enfouie, abstraite et relative soit elle, doit être la force motrice de notre implication, et notre retour a l’essentiel.
Cette notion de liberté est d’ailleurs si troublante et pénible pour la machine, génératrice et nourricière d’un contribuable névrosé et pendu a son sein providence, que celle-ci fait et fera tout pour nous rendre de plus en plus dépendant de son ampleur et de son appétit.
Si nous parlons de liberté, la question centrale et conductrice devient non pas « comment survivre », ou « comment se préparer a la chute », mais bien comment développer et améliorer mon niveau de liberté ? Comment reprendre le contrôle de ma vie, sans pour autant rabaisser, avorter et détruire, directement ou indirectement, le niveau de liberté de mon voisin ? »
(Je vous invite à lire la suite de cet excellent article
sur le site de l’auteur. Lien plus haut !)
Et oui … Voilà une question quelle est Bonne ! Je Répète la Question : « Comment reprendre le contrôle de ma vie, sans pour autant rabaisser, avorter et détruire, directement ou indirectement, le niveau de liberté de mon voisin ? »
Face au contexte actuel de Crise et vis-à-vis de la Solution du Marketing de Réseau, certains comme Paul Jorion proposent la Solution du Revenu Universel.
Paul Jorion explique pourquoi nous allons vers la fin du plein emploi. Mais comment alors garantir à tous un revenu décent ? À qui reviennent les fruits des gains de productivité ? Paul Jorion mentionne l’idée d’une « rente à vie » notamment pour les travailleurs remplacés par les robots. (Pour aller plus loin …)
La question qui se pose d’emblée est la Suivante : Le Gouvernement actuel a-t-il les mains libres (Via Bruxelles et la BCE) pour agir dans ce sens (Humanisme) vu le contexte actuel européen et mondial de crise, plus les pressions des banques et du patronat via le « Medef » en France ?
Comprenant le contexte actuel, le Marketing de Réseau offre une alternative au retour au plein emploi à des millions de personnes à travers la planète. La question que nous pouvons dorénavant nous poser est la suivante : Sommes-nous prêt majoritairement à courir, psychologiquement, philosophiquement et à relever ce défi … ?
Dans tous les cas, en démocratie, chacun doit faire son choix
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