sur son office de ténèbres,
pour épouser ses deuils.
Mais la prière se mesure
à l’absence, à l’énigme,
au récit d’un été.
Les voûtes n’ont pas pu tenir
le retour d’une joie ancienne.
La nuit alourdit de pétales
la veillée des faux morts,
ceux dont l’oubli ne veut.
Variante (novembre 2013) d’un poème extrait de mon recueil Le Pétrin de la foudre, © éditions Orage-Lagune-Express, 1992.