Belfond, 17 février 2011, 235 pages
Résumé de l'éditeur :
Comme chaque été, Alfonse Destrooper part en villégiature à la mer du Nord. Josette, sa femme, est bien décidée à se la couler douce, entre farniente à la plage et shopping dans la station balnéaire. Les enfants, Steven et Lourdes, emportent leur caméra pour immortaliser ces vacances tant attendues. Quant à la mémé, véritable Calamity Jane, elle les accompagne dans sa vieille caravane.
Mais le voyage commence mal ! Un motard pique le sac de Josette à un carrefour et s'enfuit. Furieux, Alfonse s'arrête dans un snack pour s'enfiler une bière pendant que les deux ados, avec leur manie de tout filmer, s'amusent à planquer leur caméra dans les toilettes, histoire de recueillir quelques images truculentes. La famille Destrooper reprend finalement la route. A l'arrière de la voiture, les ados visionnent tranquillement leur vidéo. Quand, soudain, ils découvrent à l'écran le cadavre du motard gisant sur le sol des toilettes du restoroute ! Et, pour couronner le tout, la magnifique pension dans laquelle les Destrooper ont prévu de séjourner est un rade pourri. Les vacances en enfer ne font que commencer...
Mon avis :
Grâce à ce roman, me voici presque bilingue. Je pourrai dorénavant commander un pékèt sans faillir.
L'auteure n'a toutefois pas réussi à me convaincre des charmes de la mer du Nord.
En revanche, ses personnages sont foutraques au possible ; les situations cocasses s'enchaînent pour le plus grand plaisir du lecteur ; et le serial-killer n'est pas forcément qui l'on croit.
Un roman idéal entre deux récits plus difficiles. Un vrai plaisir de lecture.
L'image que je retiendrai :
Celle des tenues et chapeaux de Josette, tout en couleurs et en formes.