17e pays de notre voyage, dernier pays de notre périple (avec une incursion au Népal au milieu), l’Inde est réputée pour ses contrastes. Ce sera une découverte pour Nico, et une deuxième rencontre pour moi.
Calcutta est notre point d’entrée. La capitale du Bengale de l’ouest possède une forte image ancrée dans la tête des occidentaux grâce (ou à cause) de Mère Theresa. Calcutta est réputée comme une ville de pauvreté extrême.
En réalité, Calcutta est une ville intellectuelle. Tâchons de la découvrir !
Calcutta au premier abord ressemble à une ville. Trottoir, carrefours, feux rouges, immeubles…Tout est là. En plus de la classique ville que vous connaissez, que vous côtoyez tous les jours en Europe, il y a l’Inde et les Indiens.
Les trottoirs sont devenus boutiques, restaurants, coiffeurs ou barbiers. Les chaussées sont emplies d’ »Ambassador », de taxis, de pousse-pousse à vélo, de rickshaws etc…
La circulation est anarchique, c’est la loi de la jungle ou plutôt celui du klaxon. Mais tout ce petit monde s’arrête au feu rouge et regarde le décompte. D’un côté, Calcutta rassure les petits européens que nous sommes. Nous nous trouvons bien dans une ville . De l’autre, l’Inde a repris ses droits sur cet ancien territoire anglais et l’a transformé et adapté à sa cultures, sa façon de vivre. L’ensemble donne une ville agréable où se promener. Aéré, avec des parcs et de beaux immeubles, et en même temps, fatiguant de bruit.
Calcutta, c’est bien une ville héritière de l’architecture et de l’organisation britannique où l’Inde a repris ses droits
Ciao les amis.
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