Jean-Christophe Bailly parle de Penone à Versailles. Il souligne que, jusqu’à ce jour, dans ce lieu, « la ligne du programme » avait été « peu ou prou celle, omniprésente par ailleurs, d’un art clinquant pour banquiers ». Cette fois, « pour rester dans le langage de cour, on peut dire qu’à Versailles, des ambassadeurs et non pas des laquais ont été reçus, et comme ce qu’ils sont, c’est-à-dire les émissaires d’un autre monde ».
Une photo de l’Arbre des voyelles sous la neige, aux Tuileries, accompagne cet article, ainsi, bien sûr, que d’autres photos prises d’une autre saison, à Versailles.
Ici et là, aujourd’hui, Penone rencontre donc l’histoire des rois de France…