Quatrième de couverture :Après la mort de son père, l’auteur est de retour dans la maison de son enfance où chaque recoin éveille un souvenir. Il s’était promis de ne pas oublier son père. Et il ne l’oublie pas. Car la meilleure arme contre la mort, c’est la mémoire... Pourtant, confie l'auteur, il a toujours considéré ce texte comme de la fiction, "car moins de cinquante pages ne peuvent suffire à parler de la mort de quelqu'un, les pages ne peuvent contenir la vie d’une personne et le vide qu’elle laisse derrière elle."
Quatrième de couverture :Après la mort de son père, l’auteur est de retour dans la maison de son enfance où chaque recoin éveille un souvenir. Il s’était promis de ne pas oublier son père. Et il ne l’oublie pas. Car la meilleure arme contre la mort, c’est la mémoire... Pourtant, confie l'auteur, il a toujours considéré ce texte comme de la fiction, "car moins de cinquante pages ne peuvent suffire à parler de la mort de quelqu'un, les pages ne peuvent contenir la vie d’une personne et le vide qu’elle laisse derrière elle."