La planète Strictly souffre présentement d’une maladie malheureusement trop souvent répandue dans ce type de divertissement.
Cette maladie, c’est le vote subjectif. Le vote qui prend en compte la sympathie du concurrent plutôt que son talent…
Et dans ces cas-là, une personne part…qui n’aurait jamais dû partir…
En cette week five, dans Strictly, le niveau est un tant soit peu redescendu, après deux semaines dans les limbes. Du coup, seules trois prestations ont retenu mon oeil avisé.
La première, celle de Deborah Meaden, présentatrice télé, qui a dansé une sublime valse viennoise sur « This is a man’s world ». Vraiment hyper beau.
La deuxième, celle de mon coup de coeur Mark Benton (que vous allez voir toutes les semaines si ça continue), qui cette fois a dansé une valse sur « Apologize » des One Republic, l’une de mes chansons préférées de tous les temps…
Et la troisième, probablement la meilleure selon moi, un jive dansé par Ashley Taylor-Dawson sur l’inimitable « Johnny Be Goode », et bordel, je veux revoir Back to the future… Genre, now.
Dernière petite info, Dave Meyers, le biker qui danse super mal, a osé danser une samba sur « Cuban Pete », aka, en français, « Sancho le Cubain », de la BO de The Mask. Alors, ce fut tellement affligeant et déshonorant pour Jim Carrey, que je vous fais don de l’original…
Et cette semaine, nous avons dû dire au revoir à Deborah, et franchement, les amis, je trouve ça dégueulasse. Mais alors là, vraiment.