"Le fait que la Cour refuse une nouvelle fois la tenue d’un nouveau procès à Okunishi Masaru, dans une affaire qui le mérite incontestablement, est une parodie de justice", a déploré Catherine Baber, directrice du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International.
La décision de la Cour suprême du Japon de refuser de faire droit à la requête d’un condamné à mor...