Pan, t'es mort !
Puisqu'on risque de passer notre prochain mois à avoir un maximum de news sur Killzone : Shadow Fall, j'ai eu envie ce soir de sortir de l'ordinaire en vous proposant un poème écrit par Victor Hugo. Il résume parfaitement ce que l'on voit dans un monde malgré tout futuriste :
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile,
Berceuse du chaos où le néant oscille,
Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons,
Toute pleine du bruit furieux des clairons,
Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie,
Hideuse, entraîne l’homme en cette ivrognerie,
Nuée où le destin se déforme, où Dieu fuit,
Où flotte une clarté plus noire que la nuit,
Folle immense, de vent et de foudres armée,
A quoi sers-tu, géante, à quoi sers-tu, fumée,
Si tes écroulements reconstruisent le mal,
Si pour le bestial tu chasses l’animal,
Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre,
Défaire un empereur que pour en faire un autre ?
On vous laisse 2 heures pour faire votre explication de texte. C'est parti.