La raison a ses certitudes,
Mais que fait-elle des peines,
Des regrets qu’elle feinte d’ignorer,
Que dire des doutes dont son insolence n’avoue l’existence,
La raison juge,la raison argumente,
Mais quelle est l’exacte somme de sa connaissance,
Combien pourrait-elle pourtant joindre sa logique,
L’héritage de son intelligence,
A la vive conscience de son amour,
Pour la plus grande joie de son être,
En son cœur le véritable bonheur.