Affaire Léonarda. Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique sur son blogue :
« De même que, pour les besoins de son idéologie, Jean-Jacques Rousseau parait un mythique « bon sauvage » de toutes les vertus de « l’état de nature », c’est désormais le « rom », pareillement idéalisé, qui en tient lieu pour la gauche actuelle et au premier rang les soi-disant écologistes.
Ainsi, les cas poignants des petites filles enlevées en vue de toutes les pires exploitations de la cour des miracles rome ne suscitent-ils pas le millième de l’indignation politico-médiatique mise en branle sur le cas de la vitupérante agitatrice précoce bien formée, Léonarda.
Cette dernière, orgueilleuse, sûre d’elle et dominatrice, affiche en effet sans une once de vergogne une barbare certitude tribale de ce que la France et les Français doivent se soumettre aux exigences de leur emprise, de leur empire rom conquérant.
Pourquoi se gêner ?
À l’école de la république et de la culture raciste du rap, Léonarda n’a-t-elle pas appris que la France était une putain que l’on pouvait asservir à son gré ?
C’est que les pseudo-écologistes, fanatiques nihilistes, voient dans une immigration sans règle et sans limites un vecteur essentiel du déracinement, de la désagrégation sociale absolue qu’ils appellent de tous les vœux de leur instinct de mort.
Bien sûr, la vaguelette « rom » est infiniment moins menaçante que la déferlante contemporaine du néo-islamisme et Léonarda moins dangereuse que Samia Ghali ou Houria Bouteldja. Mais pour les négateurs « écolos » des lois de l’écologie humaine, tout est bon à prendre pourvu que ça détruise la nation en tant que constitutive d’une réalité humaine historique et politique que, cathares de notre temps, ils haïssent profondément.
L’AGRIF, exerçant sa fonction de syndicat des Français et de défense des lois d’harmonie de l’humanité, dénonce le racisme anti-français et anti-humain de ces faux écologistes qui ne sont que de vrais nihilistes. »