Si quelques réglages sont encore nécessaires avec sa partenaire pour qu’Alice puisse être débarrassée de tous ses doutes sur scène, on écoutera en boucle Where Do We Go pour patienter jusqu’à la sortie de son prochain album chez Tricatel.
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Damon McMahon alias Amen Dunes, plutôt habitué à tordre les cordes de sa guitare électrique, a préféré se lancer dans un set totalement acoustique à cause d’une légère blessure à la main. Jeff, un proche du collectif MU, lui a prêté sa guitare pour lui éviter l’amputation.
Le Garage plongé dans la pénombre, éclairé seulement par les quelques diodes du rideau de guirlandes contre le mur en béton, Amen Dunes s’installe devant son micro et enchaîne ses morceaux, qu’il introduit toujours avec une petite anecdote tirée de ses nombreux voyages pendant lesquels il compose toutes ses chansons comme des notes de voyage remplies d’ impressions personnelles : « Je n’ai jamais joué ce morceau en concert encore, je l’ai composé avec des musiciens de Godspeed You! Black Emperor… Alors voyons ce que ça donne ici« . « J’aime celle-là même si elle n’a pas encore de nom« , dit-il lorsqu’il termine ce magnifique morceau, premier des quatre que nous avons filmés.
Amen Dunes est le genre d’artiste généreux et simple à qui tu vas chaleureusement serrer la pince pour le remercier à la fin de son concert. Ce mec respire vraiment la bonté, ses chansons introspectives n’ont rien à voir avec le stéréotype du chanteur folk torturé qui vit caché dans les bois pour écrire sur sa dépression ou sur le monde qui s’écroule sur lui-même… La musique d’Amen Dunes vous touche là où le palpitant s’agite – de la magie pure…
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