Patong Beach, le 28 août 2013
Courriel: [email protected]
Pour information : Complicité de racisme anti-vieux : « Bangkok Post, I accuse you of cowardice, lying and misinforming the opinion ! »
Ambassade Royale de Thaïlande
8 Rue Greuze
75116 Paris
France
Fax: 01 56 26 04 45
[A l’attention de Yingluck Shinawatra, Premier Ministre de Thaïlande]
Mesdames et Messieurs,
Après avoir vainement tenté par mes lettres recommandées antérieures, dont les copies et les accusés de réception respectifs sont toujours à votre disposition avec ma lettre accusatrice du 5 avril dernier adressée au Bangkok Post en envoi recommandé avec accusé de réception sous l’intitulé, Bangkok Post, I ACCUSE : «Intellectual debility, cowardice and dishonesty !», d’attirer votre attention sur une forme de discrimination très pratiquée par nombre de vos compatriotes thaïlandais, je ne peux manquer de vous faire part de mon courriel du 30 dernier adressé au Bangkok Post sous l’intitulé, I ACCUSE YOU OF COWARDICE, LYING AND MISINfORMING THE OPINION ! ! !, dont le bref contenu exprime ce qui suit :
FOR THE ATTENTION OF BANGKOK POST'S MANAGEMENT AND EDITORIAL STAFF ! ! !
It is pathetic that people, journalists in this particular case, whose first duty should be to tell the truh, are exactly afraid of facing The Truth, and so misinform deliberately their readers by hiding them racist practice of theirThai fellow countrymen.
Making so, you are despicable of your journalistic job ! ! !
Outre que le silence et le refus de débattre du Bangkok Post sont une preuve de lâcheté intellectuelle indiscutable, je suis bien obligé de constater que le silence de votre ambassade atteste aussi la même lâcheté qui, de surcroît, couvre sciemment une pratique raciste encore moins acceptable, mais je ne peux malheureusement que me féliciter de vous avoir réduit au silence, ce qui, jusqu’à preuve du contraire, me donne néanmoins intellectuellement raison.
Je n’entends pas toutefois revenir ici sur le fond et je vous renvoie au courrier déjà envoyé qui contient mon argumentation intellectuellement et philosophiquement étayée qu’il ne vous sera évidemment pas interdit de contester sur le fond, de la même manière.
Dans cette éventualité très incertaine par votre manque de courage intellectuel avéré, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Mesdames, Messieurs, mes salutations philosophiques, laïques et républicaines, sauf à vous-mêmes ou à quiconque, évidemment de démontrer le contraire.