« La recrudescence des tensions intercommunautaires dans les principales villes du pays et la violence de ces dernières semaines à Bouca, Bossangoa, et plus récemment dans la commune de Yaloké, sont particulièrement préoccupantes », déclare Georgios Georgantas, chef de la délégation du CICR dans le pays. « La population, les hommes, les femmes et les enfants, sont les principales victimes et vivent dans la peur, fuyant leurs villages par crainte de nouvelles attaques. » (Lire la suite)