voici quelques citations de Douglas Harding sur la conscience, glanées dans ces oeuvres.
En espérant qu'elles vous incitent à regarder en vous-mêmes!
jlr
Douglas et Catherine chez eux, à Nacton.La Conscience n’a pas d’équivalent. Nous sommes incapables de dire ce qu’est la Conscience, non pas parce que nous ne la connaissons pas, mais parce que c’est la seule chose que nous connaissons vraiment- parce que nous sommes elle, et elle est indescriptible. Il n’y a rien de comparable à elle.
L’immensité intérieure
Ici, je trouve celui qui est illimité, absolument clair, sans âge, conscient de Lui-même en tant que tel, et qui jamais, jamais, ne tourne le dos à qui que ce soit ou quoi que ce soit.
La troisième voie
Cette Conscience que je suis, sans fin ni interruption, se perçoit également Elle-même comme étant sans commencement.
Le petit livre de la vie et de la mort
Impossible de confondre cette conscience avec une présence d’esprit ordinaire, ou avec le genre d’attention qu’on porte à un travail en cours. Elle se distingue par une qualité indescriptible (clarté, intensité, et ainsi de suite, ne sont que des métaphores). Elle a en propre une joie calme qui ne connaît ni l’agitation, ni la lassitude : aucune attente n’est fastidieuse, aucune corvée ne semble une perte de temps, aucune rue ne parait misérable et morne, aucun homme ne semble laid, rien n’est banal ou repoussant, tout baigne dans une lumière douce, mais nettement reconnaissable. Les habitudes et les idées toutes faites sont balayées ; les distances sont annulées ; les couleurs brillent d’un éclat étrange.
Vivre sans tête
Cette Conscience est impersonnelle…La Conscience Ici est la même dans tous les êtres.
L’immensité intérieure
Ici et maintenant, je suis Unique, je suis la Conscience une et indivisible qui n'est ni une chose ni à l'intérieur d'aucune chose, ni la propriété d'aucune chose. Au contraire, toutes les choses sont en Elle et procèdent d'Elle. C'est moi en tant que Racine de ma racine, Moi en tant que Première Personne du singulier du présent, Moi en tant que Conscience unique dont parlent les Upanishads, Celle qui voit et entend au cœur de tous les êtres.
Le procès de l’homme qui disait qu’il était Dieu
Aucune chose n’est consciente des autres choses. Fouillez tout l’univers et vous ne trouverez jamais de Conscience nulle part ailleurs qu’en vous-même qui n’êtes pas objet mais espace pour les objets. En vous-même qui êtes vide de vous-même, non substantiel, et donc plein de tout ce qui est substantiel et mortel.
Vivre sans stress
Lorsque je regarde en moi, en ce moment même, je me vois et je me connais tel que je suis vraiment, vraiment : cette Conscience centrale en laquelle il n’y a aucune possibilité d’erreur tout simplement parce qu’il n’y a rien sur quoi on puisse se tromper.
Le procès de l’homme qui disait qu’il était Dieu
Si je regarde en ce moment ce qui regarde en moi, la Capacité consciente ou Conscience solitaire que je trouve ici, je vois que c’est ce qui m’unit à votre conscience et à toute conscience.
Le procès de l’homme qui disait qu’il était Dieu
Cette Conscience unique vit dans l’émerveillement constant devant sa propre création de la Conscience, ignorant totalement comment elle le fait, et infiniment réjouie. Je suis impossible, se dit-elle ; et pourtant Je suis. Bang, me voici !
L’immensité intérieure