Le vendredi, outre le TFSA, désormais, il faudra compter avec OUAT in Wonderland.
Alors, la semaine dernière, le pilot avait réussi le tour de force de me faire aimer puissance huit mille (il fait au moins moins huit mille) Wonderland et ses personnages (‘fin, surtout Knave et Rabbit, faut pas déc’ non plus).
J’avais aussi eu les crocs en découvrant que mon Cheshire Cat était un gros psychopathe bien loin du chat à adopter…
Mais ban, avant, c’est avant. Est-ce qu’ils ont réussi à continuer sur leur lancée?
La réponse? Ben…oui.
L’épisode du jour démarre avec Alice qui se sent d’humeur à bastonner des arbres. Le tout habillée d’une fort jolie tenue sortie de nulle part, comme ne tarde pas à le remarquer Knave.
Cette semaine, les deux compères se mettent à la recherche de la bouteille de Cyrus, sans laquelle ils ne pourraient pas le retrouver.
On apprend donc par là que Knave a brisé le coeur d’une fée nommée Silver, et que son true love à lui…se nomme Anastasia.
Sérieusement, dans OUAT, ils font des connexions partout, c’est abusé.
Histoire de bien enfoncer le clou, cette semaine, on a encore droit à de la romance à deux balles entre Alice et son génie. Et si je dois avouer que Sophie Lowe joue très bien les amoureuses transies, Peter Gabiot, lui, joue comme un pichet. Ou alors c’est juste que j’ai décidé de le détester… Ça peut être ça aussi.
Tant qui j’y pense, Tequi, qui n’aime d’ores et déjà pas la Reine Rouge, ne va pas plus l’aimer cette semaine. Barbie à la bouche d’Angelina Jolie est toujours aussi cruche, et tente toujours de séduire Jafar, même si quelque chose me dit que ce mec est irrécupérable.
Y a rien qu’à voir son look. Se promener avec un bâton serpent, sérieux… On a vu moins lame.
Bref, entre coups bas, répliques désormais cultes, personnage mythiques qui apparaissent au fur et à mesure (les Tweedles cette semaine), encore un bon ptit moment.
Comme dirait Knave: What the bloody hell is that?
That, my friend, is the sound of a british accent.
Juste parce que ce chat me manque affreusement…