Nicolas Aiello : Mes dessins commencent toujours par une marche, l’observation d’un territoire dans la ville. J’y récolte des mots lus sur mon trajet (publicités, graffitti, signalétiques). Je les retranscris de manière systématique, en les entremêlant jusqu’à ce qu’ils perdent leurs sens et qu’ils deviennent une suite de boucles, de traits griffonnés. L’ensemble forme le paysage abstrait d’un territoire réel.
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