Coucou les amis!
Alors, les chaines belges ont encore frappé hier soir, en m’appâtant monstrueusement avec l’un de mes films romantiques préférés de tous les temps, j’ai nommé The Holiday.
Si vous vous souvenez bien, l’un des deux couples-phares du film a été cité dans l’un de mes TFMA sous la catégorie Best kiss.
Ben, vous comprendrez vite qu’il n’y a pas que ça qui m’a fait fondre…
The Holiday, c’est au départ un peu le scénario bateau.
Amanda est une jeune femme accomplie qui travaille dans la pub à Los Angeles. Sauf que, son petit ami étant un gros loser, le couple se sépare, et Amanda a terriblement besoin d’air frais. En surfant sur un site d’échange de maisons pour les vacances de Noël, elle fait la connaissance d’Iris, jeune anglaise pour qui rien ne marche, et les deux échangent leurs maisons…comme ça.
Bien entendu, ça ne s’appellerait pas "comédie romantique" s’il n’y avait pas anguille sous roche.
Pour Iris, ce n’est pas vraiment flagrant au départ. Elle est amoureuse d’un homme qui l’utilise, et son coeur brisé ne s’en remettra pas de sitôt. Et lorsqu’elle rencontre Miles, charmant compositeur travaillant avec Amanda, qui lui aussi aime une femme qui n’est pas pour lui, ce n’est pas le coup de foudre…mais une approche lente et sincère des sentiments amoureux.
Sublime Kate Winslet. Parfaite Kate Winslet. As always…
Alors que pour Amanda… ^^
Le premier soir, cette connasse a la surprise de voir débouler sur son paillasson (‘fin, celui d’Iris, vous me comprenez) un bel étranger du nom de Graham qui a comme un besoin pressant (en fait c’est le frère d’Iris, je pense pas que les Anglais on pour habitude d’aller pisser chez des inconnus).
Ma fille, j’aurais Jude Law qui débarque chez moi comme ça, je pense que je lui fais des triplés dans la seconde!!!
(J’aurais pu hurler cette phrase. Mais ce n’est pas le cas. En tout cas, en vrai non. Dans ma tête, c’est autre chose.)
Voilà donc ce fameux atout majeur.
Une paire de putains d’yeux bleus, cachés derrière des lunettes qui ne font que rendre leur porteur encore plus canon, un accent british so shmexy, et un de ses sourires qui font éclater les ovaires d’une rue entière…
Ouf, j’ai chaud tout d’un coup…
Bion, même si Jude a une part d’écran proportionnelle à sa sexytude (et c’est même plus que ça, il n’est pas juste sexy, il est juste…PARFAIT!), il ne fait pas l’entièreté du film.
Non, parce que je peux encore citer la maladresse chronique d’Amanda, l’humour de chiotte de Miles, Arthur, ce grand-père adorable, ou encore Jasper, cet enfoiré qui mériterait bien une tarte dans sa face.
En fait, The Holiday est un tout. Un tout que l’on dirait écrit par des Anglais pour des Anglais…ça sent bon le earl grey, la neige dans le Surrey…
Et les cottages à tomber sur le cul.
J’en veux un. As in…NOW!
Voilà voilà.
Je pense avoir su canaliser les émotions que cause en moi ce film.
Même si j’aurais tout à fait pu digresser encore une centaine de ligne sur le visage de Jude Law, sur ses mains, sur son torse (sur son cul). Mais en fait, non, parce que je suis sage.
Et que je suis assez névrosée comme ça.
Note: 8,5/10 (scénario: 8/10 – jeu: 8/10 – BO: 9/10 (Hans, enfoirééééééé!) – comédie romantique: 9/10)
*sigh* Il me manque comme un truc…grand, avec des yeux dans lesquels je pourrais me noyer… Faut que j’aille en UK.