Cette phrase est de Guy Lafitte, midi-pyrénéen du jazz ! Elle est en exergue sur l'ouvrage voulu par Christian Kitzinger, "Kitz" pour les intimes à l'occasion en 1991 du train du jazz qui a fait escale à Toulouse. Cet ouvrage "Jazz en Midi-Pyrénées" faisait référence jusqu'à ce mois d'octobre 2013, 22 ans plus tard où un des membres de l'Association pour le festival de jazz "Sim Copans" de Souillac : Gilles Gaujarengues signe un "état des lieux" que je vous engage à suivre pour les deux premiers épisodes sur http://www.citizenjazz.com/Le-jazz-en-Midi-Pyrenees-1.html ethttp://www.citizenjazz.com/Le-jazz-en-Midi-Pyrenees-2.htmlComme notre amie Nighthawk l'écrivait en 91 dans son éditorial, "Jazz en Midi-Pyrénées" ne prétend pas être l'outil indispensable ... mais utile et agréable, oh, yeah !" Je salue le travail de Gilles Gaujarengues dont beaucoup de régions pourraient prendre exemple, oh, yeah !Le jazz en Midi-Pyrénées est en perpétuel mouvement, et ce panorama en quatre volets en constitue une photo en un instant T, un cliché nécessairement incomplet mais qui permet d’explorer cette scène. Marciac en est la figure la plus visible mais Toulouse en est le cœur. Réservoir de musiciens, celui-ci irrigue la scène jazz dans la Région et au-delà. Qui joue quoi et où ? Gilles Gaujarengues
Un midi-pyrénéen, lotois de surcroît photographié par Bernard Delfraissy à Souillac en jazz cette année : Émile Parisien, je lui dédie ce petit papier, il sait pourquoi !
Robert Peyrillou