Magazine Culture
C'est avec grand plaisir que je rédige ce premier billet sur FYM... Vous avez pu apercevoir certains de mes clichés dans les précédents épisodes de nos aventures, et passer des images aux mots, c'est un peu comme une deuxième naissance. Phantomas, je te fais une bise sur la joue gauche.
Je vous épargnerai ma biographie (même succincte), sachez jeunes fous que j'aime autant écrire que prendre des photos, que mes goûts musicaux sont aussi éclectiques que ceux du tenancier, et que j'aime la tarte au citron meringuée.
Passons au sujet qui nous intéresse aujourd'hui, à savoir le concert de Gonzales...
Non content d'interviewer Gonzo dans les loges du PP, Phantomas a réussi à se faire inviter au concert. Compte-rendu.
Le piano est un instrument fascinant et Gonzales s'en sert divinement bien. Fascinant car il permet d'accompagner aussi efficacement ballades mélancoliques et hip-hop tonitruant, et c'est justement ce qu'il faut à notre canadien pour étancher sa soif musicale. Il attaque, aussi bien des titres de son premier album hip-hop (magistralement servi à la voix par son clavier So Called) que les ballades enjôleuses de Soft Power, il chante, pas toujours très juste, mais bien secondé par Katie et Matthew, toujours du Together Ensemble, il parle, avec son groupe, avec le public, et surtout de lui, mais il réussit parfaitement son rôle d'entertainer, et c'est comme ça qu'on l'aime.
Un conseil : prenez des places maintenant pour la date supplémentaire du 1er décembre à l'Olympia, emmenez-y une jolie fille et restez debout dans la fosse. Si vous êtes sages vous aurez peut-être droit comme nous à la séquence Segway en backstage (cf. le clip de Working Together).
Franchement, vous allez souvent au concert pour vous ennuyer, vous ?