Dans quel triste état sont nos démocraties gouvernées ou plus exactement « ingouvernées » par une classe politique cynique et jusqu’auboutiste ? Les Etats-Unis depuis plusieurs jours sont paralysés par une quarantaine de politicrates qui n’ont qu’un objectif, imposer leurs lois fascisantes au détriment du reste de la population. Ces prédateurs sont prêts à tout pour prendre le pouvoir quoi qu’il en coûte au reste de la nation et du monde, ils sont prêts à tout pour défendre leurs « valeurs » moisies et liberticides.
Des prédateurs qu’on retrouve ailleurs, dans d’autres démocraties de moins en moins démocratiques, gagnées par un parlementarisme des petites magouilles et des intérêts partisans. En Italie, avec le cacochyme lifté Berlusconi qui, malgré ses condamnations, s’accroche au pouvoir et risque à tout moment de faire basculer son pays dans une nouvelle crise politique, un pays qui vacille fortement et ne parvient pas à trouver une stabilité politique pourtant indispensable. En France, avec le parti d’extrême droite dont le programme débilitant allèche des populations en déroute, des populations déçues par le socialisme prédateur lui aussi, qui entraine la France dans une spirale destructrice. Les gauchistes au pouvoir sont en effet pleinement responsables de la montée de l’extrême droite, avec une politique économique et sociale désastreuse pour tous les citoyens, avec une défiance qui atteint des niveaux stratosphériques, avec un degré d’incompétence traduit par une valse-hésitation de chaque décision ou absence de décision devrait-on dire.
Il est vrai que cette nomenklatura gauchiste ne vise pas à servir les intérêts de la nation, mais à s’assurer de sa réélection pour garder les prérogatives d’un Etat qu’elle verrouille, lui permettant de mieux étouffer les citoyens sous des lois, des règlements, des taxes et des impôts. Jusqu’à quand devrons-nous aller pour que les choses changent ? Il est sûr que des élections ne suffiront pas pour guillotiner tous ces prédateurs…