Plusieurs études faites aux Etats Unis montrent que les
candidats qui font parler d’eux de manière positive sur les
réseaux sociaux ont un avantage pour se faire élire sur les autres. De quoi motiver nos candidats à investir sur ces nouveaux canaux. D'autant que les écarts de voix risquent d'être souvent minimes dans nos départements. Mais la présence
sur les médias sociaux est un investissement à moyen et long terme en
politique. Les nouveaux entrants de dernière minute risquent de passer pour des
opportunistes alors que ceux qui n’ont pas attendu l’échéance pour y être, pourront en tirer un bon profit. Une chose est sûre, cette campagne des
municipales risque de marquer une rupture en matière de communication politique
locale.
François Brichant