La 1ère dissertation de philo…
Le devoir où il y a tout et rien à dire, celui qu’on ne sait pas par quel bout prendre mais sur lequel tout le monde a un avis, mais que personne ne veut écrire.
Boy craint toujours les dissertations, il rigole pour mieux masquer sa crainte d’avoir une mauvaise note et fait mine de nous prévenir.
Cela a donné lieu à des séances de souvenirs, des conseils dont il pensait pouvoir se dispenser en prétendant travailler avec un copain…
Finalement, il a commencé par appeler sa soeur au secours avant de bien vouloir m’écouter, lire, chercher, et accepter la méthodologie proposée.
La soirée et la nuit seront longues, la note incertaine mais c’était bien agréable de ne pas être considérée comme une « vieille chose périmée » dès qu’on parle à un ado !