Festival sur les Pas de mon Oncle : les laureats 2013

La 10ème édition du festival du court métrage est terminée, le jury a délibéré, et le palmarès 2013 est tombé.

Parmi les films récompensés, voici une petite sélection de ceux qui sont visibles sur internet (car raconter un court métrage ne vaut pas le voir)…

Merci au jury d’avoir accompagné ce festival et un grand bravo à toute l’équipe du festival, aux bénévoles qui ont visionné et sélectionné les films durant toute l’année, à Astrid et Laura qui ont eu la mission difficile d’animer ces journées, à Serge le directeur du Lido, aux services municipaux qui ont aidé à ces journées (service culturel, service de la communication, service des espaces verts, services techniques, services des fêtes), et à Jasmine Camara, présidente du comité d’organisation du festival.

Le Père-Noel est mort Réalisé par Valentin Marro (5 mn 20) : Prix coup de coeur du public

Petit cœur Réalisé par Uriel Jaouen (6 mn) : Grand prix du Festival Et prix de la meilleure comédienne (et personnellement j’aurais ajouté la meilleure musique si le prix existait).

Cupidon Réalisé par Simon Bau, Clémentine Choplain, Marie Ecarlat, Benoit Huguet, Julien Soulage (7 mn 18) : qui a été récompensé pour son scénario

Le prix du Lido qui récompense les jeunes réalisateurs Saint-Mauriens, est allé à celui qui est désormais très célèbre à Saint-Maur : Hugo Pillard pour son film I Will Grow.

Et si ? Réalisé par Yassine Benhoumane (12 mn) a obtenu le prix du jeune réalisateur

32 boulevard Magenta Réalisé par Nadège Abadie (5 mn 39) a eu une mention spéciale du président du Jury

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Un court qui n’a pas eu de prix mais qui est fait par un réalisateur que j’aime beaucoup (il a fait demi-paire qui a été primé en 2011). Et sur scène ce fût un moment très émouvant quand Astrid, une des deux présentatrices de ce festival, lui a demandé ses motivations pour faire ce film et qu’il a expliqué qu’il était atteint de surdité presque complète à l’oreille droite et qu’il était également atteint de maladie dégénérative de la cornée et qu’il avait voulu évacuer un peu toutes ces mauvaises nouvelles à travers ce film. Beau film courageux sur des sujets importants par un réalisateur de grand talent.

Les oranges par Yannick Pecherand-Molliex.