La nuit du dimanche au lundi est celle des insomnies pour plus de 50 % des salariés américains et européens !
A l’inverse, Espagnols, Norvégiens et Danois semblent moins appréhender la reprise du travail.
Le manque de sommeil est source d’anxiété et de différents troubles. Or le stress au boulot représente un coût pour l’entreprise : le turnover, l’absentéisme ou les pertes de qualité découlant du stress représentent 3 % à 4 % du PIB des pays industrialisés, selon le Bureau international du travail.
Il y aurait donc urgence de transposer en droit français l’accord-cadre sur le stress en entreprise, signé par les principaux syndicats européens en octobre 2004, toujours pas appliqué en France. Encore une exception française ?
Prévu de faire une petite sieste en début d’après-midi ?
Source : Bureau international du travail