Le 568e film enregistré (vous pouvez consulter le Palmarès de septembre en cliquant) est la nouvelle comédie romantique de Richard Curtis, avec la craquante Rachel McAdams et l’inénarrable Bill Nighy ; elle est distribuée en France par Universal Pictures.
Il était temps
C’est Audrey qui l’a notée en premier pour le Palmarès, et vous pouvez lire sa critique enthousiaste sur son site New Kids on the Geek [cliquez sur le lien].
Titre original
About time
Mise en scène
Richard Curtis
Date de sortie France
6 novembre 2013
Scénario
Michael Noer & Rasmus Heisterberg
Distribution
Domhnall Gleeson, Rachel McAdams & Bill Nighy
Photographie
John Guleserian
Durée
123 min
Musique
Nick Laird-Clowes
Support image
35 mm ; 2.35:1
Synopsis : À l’âge de 21 ans, Tim Lake découvre qu’il a la capacité de voyager dans le temps... Lors de la nuit d’un énième nouvel an particulièrement raté, le père de Tim apprend à son fils que depuis des générations tous les hommes de la famille maîtrisent le voyage intertemporel. Tim ne peut changer l’histoire, mais a le pouvoir d’interférer dans le cours de sa propre existence, qu’elle soit passée ou à venir... Il décide donc de rendre sa vie meilleure...en se trouvant une amoureuse. Malheureusement les choses s’avèrent plus compliquées que prévu. Tim quitte les côtes de la Cornouailles pour faire un stage de droit à Londres et rencontre la belle et fragile Mary. Alors qu’ils tombent amoureux l’un de l’autre, un voyage temporel malencontreux va effacer cette rencontre. C’est ainsi qu’au fil de ses innombrables voyages temporels, il n’a de cesse de ruser avec le destin afin de la rencontrer pour la première fois, encore et encore, jusqu’à ce qu’il arrive à gagner son cœur. Tim se sert alors de son pouvoir afin de créer les conditions idéales pour la demande en mariage parfaite, pour sauver la cérémonie à venir du discours catastrophique du pire des garçons d’honneur imaginable mais aussi pour épargner à son meilleur ami un désastre professionnel. Mais alors que le cours de sa vie inhabituelle se déroule, Tim découvre que ce don exceptionnel ne lui épargne pas la peine et les chagrins qui sont communs à n’importe quelle autre famille partout ailleurs.