Coucou les gens!
Alors, vous aurez remarqué peut-être que mon article hebdomadaire sur l’épisode de Downton de la semaine s’est fait attendre.
Juste, pour que vous sachiez…je m’en suis pas encore remise.
Je vous explique que cette série borders on Game of Thrones quand il s’agit du nombre de plots dans un seul épisode.
J’en meurs.
Du côté de Mary, les choses s’arrangent. Elle sait d’ores et déjà qu’elle va en chier pour gagner la confiance de son père en ce qui concerne les affaires du domaine, mais s’en sort. Elle revoit un ami d’enfance à la fête organisée par Cora, et on voit un rapprochement gentil et sincère entre les deux, même si Gillingham a l’air de respecter son deuil, ce que j’apprécie.
Malheureusement, du côté de chez Isobel, c’est un peu l’opposé. La pauvre ne sait toujours pas où se placer dans le monde depuis que son fils unique est mort, et ne voit pas Mary sourire d’un bon oeil. Heureusement que Tom et Violet sont là pour lui remonter le moral.
Tom, parlons-en. Durant ce weekend, le pauvre ex-chauffeur se rend compte qu’il n’est qu’un poisson hors de son bocal, et passe la plupart de son temps un verre à la main…ce qui finit par l’entrée fracassante de cette connasse d’Edna dans sa chambre tard la nuit. Je hais cette fille.
Michael essaie quant à lui en vain de se rapprocher de Robert pour obtenir son aval pour épouser Edith, mais le père de famille l’évite comme la peste. Du coup, le malin homme du monde réussit à gagner les faveurs de son futur beau-père (pour moi, ça ne fait plus aucun doute) en regagnant la somme conséquente qu’il avait perdue au poker. Gregson, j’te kiffe. Méchamment.
Downstairs, les choses ne vont pas très bien.
Jimmy, en jouant au con comme d’habitude, arrive à se faire une entorse au poignet, et doit se faire remplacer par Mr Molesley comme valet de pied (j’adore connaitre mes classiques).
Mrs Padmore en fait trop, et finit par faire une crise de surmenage ressemblant à s’y méprendre à une crise cardiaque. Résultat: c’est Alfred qui doit se mettre aux fourneaux, pour son grand plaisir, mais pas pour celui de Mr Carson, pour qui on ne touche pas aux traditions.
Et je vous parle même pas de la chanteuse d’opéra, reléguée dans sa chambre comme une malpropre…
Et…eh bien… C’est pas cette saison qu’Anna et Bates seront heureux sans nuage à l’horizon.
Chaque saison, on y a droit. Dans la première, Bates étant toujours marié, ils ne pouvaient pas vivre leur amour au grand jour. Dans la deuxième, Bates passait la saison presqu’entière en prison pour le suicide/meurtre de sa femme Vera. Dans la troisième, il sortait enfin de prison et épousait Anna, juste pour déjouer les plans dégueulasse de cette grognasse de O’Brien concernant Thomas.
Et ici…ce n’est plus Bates qui a la poisse, mais Anna.
La pauvrette se fait violer par le valet de Lord Gillingham pendant que le reste de la maisonnée écoute une chanteuse d’opéra.
Et elle fait jurer à Mrs Hughes de taire cet affront, car si son mari le sait, il ira tuer le connard et retournera à la prison pour de bon…
Tout ce que j’espère, c’est que Mrs Hughes caftera. C’est pas possible autrement.
Bref, les enfants, cette série ne cesse de me faire pleurer, rire, lancer des onomatopées bizarres.
J’en peux plus…