Blues norvegien

Publié le 12 octobre 2013 par Ziril

C’est immense, les falaises tombes, abruptes, dans l’eau qui semble noire comme la tourbe. Le chemin jusqu’à l’eau paraît infini, tout est si majestueux que l’on paraît si fragile. Et sans cesse lancer et relancer, varier la vitesse des stipps, avancer à presque perdre pied. Chercher la veine où viennent les poissons. Magnifique.

DittFiske