Bernard Amsalem avec François Hollande et les autres médaillés. (photo JCH)
François Hollande aime le sport et les sportifs. Il l’a prouvé, une fois de plus, hier soir dans la grande salle des fêtes du palais de l’Elysée où il a remis des croix de chevalier et d’officier de la Légion d’honneur à des athlètes, des dirigeants…et des commentateurs. Parmi eux, Bernard Amsalem, président de la Fédération française d’athlétisme, ancien maire de Val-de-Reuil, membre de la Fédération internationale et président du club de handball rouennais. A ses côtés, se tenaient Marie-José Pérec, Christine Aron, Joël Delplanque, Cécile Nowak, Jean-Claude Perrin, Pape Diouf et d’autres sportifs de renom. Jacques Vendroux, de France Inter, l’homme de la planète foot, a été particulièrement salué par le président, très heureux de pouvoir mettre un visage sur une voix. Parmi les invités de Bernard, Alain Le Vern et son futur successeur à la présidence de la région, Nicolas Mayer-Rossignol, François Loncle et Sandrine Hurel, députés, et bien évidemment toute la famille du récipiendaire dont Patricia, son épouse, son fils Mickaël et sa compagne, sa fille Rachel accompagnés de leurs enfants. Dans son éloge, devant Valérie Fourneyron et Philippe Martin, ministres, le président Hollande a vanté l’engagement de Bernard Amsalem. Engagement de l’homme politique et du maire d’une ville nouvelle, engagement d’un sportif handballeur, engagement d’un dirigeant éminent et bon connaisseur de la chose sportive. Bernard a souvent l’occasion de développer ses idées devant des parterres d’élus ou de collègues dirigeants. On sait qu’il privilégie la formation des jeunes et le développement d’un état d’esprit fait de courage moral, de recherche de la performance comme une victoire sur soi-même et pas seulement sur les autres. Il est de ceux qui croient aux vertus du sport, à l'école et dans la vie. Au sein de la fédération et du comité Olympique, Bernard Amsalem est respecté. Mais pas seulement dans le monde sportif. Charles Berling ne lui a-t-il pas promis de courir l’Ekiden du Marathon de Paris au sein d’une équipe d’artistes férus de course à pied ?François Hollande a souhaité bonne chance à Nicolas Mayer-Rossignol. (photo JCH)
La soirée fut l’occasion pour François Hollande de saluer les amis, les familles des récipiendaires, d’apprécier un moment sans doute reposant eu égard aux responsabilités du président. Un autographe par ci, une photo par là. François Hollande tel qu’en lui-même : simple, direct, aimable. Une bien belle soirée pour tous.