Quatrième de couverture: Miles Halter a seize ans mais n’a pas l’impression d’avoir vécu. Assoiffé d’expériences, il quitte le cocon familial pour le campus universitaire: ce sera le lieu de tous les possibles, de toutes les premières fois. Et de sa rencontre avec Alaska. La troublante, l’insaisissable Alaska Young, insoumise et fascinante…
Sur le tournage de "The Fault in Our Stars", avec Angel Elsort, au casting du film.
Ma principale crainte, avant de commencer a lire le livre, c’était de ne pas être le coeur de cible de l’histoire. Après tout, ne nous voilons pas la face, mes 16 ans sont à présent bien loin. Snif. Mais l’histoire va au-delà. On découvre et on s’attache (beaucoup) à ces personnages qui ont la plus grande des qualités: ils sonnent vrai. On retrouve les ados qu’on a été, qu’on a côtoyé, qu’on est toujours un peu. Et leurs préoccupations, leurs interrogations, deviennent les nôtres. Ce n’est pas une banale bluette sentimentale, loin de là. On apprend des choses. Beaucoup. Je me suis laissé guider, ne sachant pas vraiment où on m’emmenait. Même si j’avais une légère idée. Mais le mieux, c’est que, même quand on voit où l’auteur veut en venir, on est surpris. Quand vous êtes obligé de reposer le livre parce que "Non. Non. Là. Non", et qu’après l’avoir terminé vous avec besoin de temps pour vous en remettre, c’est que, généralement, le livre est bon. J’aurais peut-être aimé le découvrir (beaucoup) plus tôt, histoire d’être encore plus en phase avec les protagonistes. Mais pas besoin d’avoir 15 ans pour les comprendre. Pas besoin d ‘avoir 15 ans pour avoir "envie". John Green sait raconter les histoires. Je vais m’empresser de découvrir "Nos Étoiles contraires". Je ne sais pas dans quel état vous me retrouverez… Lisez!
Stéphanie