Photo : David Fairweather
Intimiste et poignant, le premier album de James Mathé, aka Barbarossa, constitue l’une des belles surprises de la rentrée, entre folk et électro-soul.
Signé récemment sur le label londonien Memphis Industries, Barbarossa vient donc de sortir Bloodlines un nouvel album qui puise autant dans la soul de Stevie Wonder et D’Angelo que dans la lo-fi des Dirty Projectors en passant par les notes planantes de Sufjan Stevens. Ses titres sont portés par une folk émotive rythmée par des sons aussi bien électro que définitivement rock. Barbarossa touche la grâce avec ses mots et fait chavirer notre coeur avec sa voix.