Les pays de la Ligue arabe préparent un projet de loi contre la diffamation des religions qui leur permettra de poursuivre les contrevenants même s'ils résident à l'étranger.
Présenté par le Qatar, le projet de loi est actuellement examiné par les délégués de plusieurs pays membres de la Ligue arabe. Toutes les formes de diffamation, de dérision ou de dénigrement des religions et des prophètes constitueraient des crimes. Quelle grande avancée pour l'humanité! La Terre ne sera plus ronde - elle redeviendra plate ( conformément à leurs dogmes, leurs saints écrits et révélés à l'âge de pierre à une humanité apprenant tout juste à marcher! ) par des esprits comme l'ensemble de leur doctrine!
«La principale caractéristique du projet de loi est d’accorder à chaque État le droit de traduire en justice ceux qui insultent et méprisent les religions même s’ils résident à l’étranger», a déclaré Ebrahim Mousa Al Hitmi, secrétaire adjoint pour les affaires juridiques au ministère de la Justice du Qatar, rapportait mercredi le quotidien arabe local Al Arab.
Selon cet officiel, le projet de loi n'entre pas en conflit avec la liberté d'expression. «La loi ne porte atteinte en aucune façon à la liberté d'opinion et d'expression, laquelle est bien protégée et garantie. Toutes les lois pénales dans les pays arabes criminalisent la diffamation des religions ( remplacer diffamation par expression libre d’une opinion : car ne pas croire et l’exprimer est une diffamation ! ) mais il n'y a pas de sanctions spécifiques pour les délinquants qui sont à l’extérieur du pays. Par conséquent, ce projet de loi vise principalement à décourager toutes les formes de diffamation des religions et à donner aux pays qui l’auront ratifié le droit d’engager des poursuites contre ceux qui insultent les religions, même s’ils résident à l'étranger», a-t-il dit.
Il a ajouté que l’initiative du Qatar s’inscrit dans le cadre d’un effort pour contrer les campagnes incessantes ciblant les religions. Le projet de loi sera examiné lors d’une réunion des ministres de la Justice des pays arabes.
Le Qatar n’est-il pas ce merveilleux
pays ami de
la France républicaine ?
Et que penser de cela: de cet autre obscurantisme que façonne le religieux. Nous sommes au Québec au coeur d'une société évoluée et pour certains: «Battre sa femme est une manière de l’éduquer» (cheikh Hussein Mohamed Amer)! Le cheikh Hussein Mohamed Amer, imam de la mosquée Aljisr de Laval au Québec, justifie la violence [«pas sévère»] du mari envers son épouse, en dernier recours et dans un but éducatif, quand le mari n’est pas parvenu à la convaincre de retourner sur le droit chemin de l’islam.
«Le prophète Mahomet, la paix soit sur lui, a dit: si les épouses le font, alors les maris doivent les battre, mais pas sévèrement [Muslim 1218]. D’aucuns soutiennent, en lisant ce texte, que la loi islamique permet au mari de battre sa femme, tandis que d’autres affirment que l’islam opprime la femme en permettant au mari de la battre.
Mes frères et mes bien-aimés, l’islam enseigne que battre sa femme est une forme d’éducation, et un dernier recours [littéralement, le «dernier médicament», c’est-à-dire un médicament administré après que tous les autres ont échoué à guérir la maladie, comme dit le hadith :] le dernier médicament brûle [la peau avec du feu].
L'Occident interdit la violence à des fins d’éducation et c’est la position que nous adoptons ici. La vérité est cependant toute autre. Battre sa femme est une forme d’éducation … le mari peut battre sa femme lorsqu’il a épuisé toutes les solutions possiblement efficaces et qu’il n’y a pas d’autre traitement!C'est radicalement évident pour ce sinistre abruti!
Le coran fait référence au droit du mari de battre sa femme dans le cadre d’une série de traitements: «Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, [puis si elles persistent] éloignez-vous d'elles dans leur lit, et [en dernier recours] frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles [Sourate An-Nisa, 34]
Si vous avez raison, la femme doit être admonestée, son mari doit lui rappeler ses droits sur elle et elle devrait retourner vers son Seigneur Tout-Puissant. Si les réprimandes et les conseils échouent, le mari doit abandonner le lit conjugal, prendre ses distances avec elle, la snober, éviter de la toucher au point où il ne rêvera plus d’elle, et si ce châtiment échoue, le mari est autorisé à la battre comme a dit le prophète : ne pas la battre sévèrement.» Quelle pitié! ne pas la battre sévèrement! J'en ai la nausée!