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Les peupliers
Trois frères me regardent par le fenêtre,
Fanfarons,en pied de nez levés en l'air,
Leurs voisins epineux ,aimables cousins,
Sont leurs garde du corps ,petits pins en coin.
Trois peupliers se plient sous le vent taquin,
Se penchant comme pour me tendre la main,
A travers les murs de pierre sortis de terre,
Qui ne ressemblent en rien à leurs congénères.
Trois frères centenaires ont salué nos pères,
Enracinés,pieds en lierre à l'allure altière,
Observant sagement nos vies de pantins de chair,
Qui s'activent contre le temps,pauvre chimère.
Trois peupliers rient sous le ciel enluminure,
Chatouillant les nuages errants à l'aventure,
Qui leur dessinent des chapeaux de fourrure,
sans une trace d' usure sous leurs chaussures.
Adelaide
,t
Y croire
Être
Delires en si
affamée
doux delires
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