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LFB : Villeneuve d'Ascq s'impose au bout du suspense

Publié le 05 octobre 2013 par Laurent Jeannas

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Olayinka SANNI et l'ESBVA ont souffert jusqu'au bout © Guillaume LAVIGNIE

Villeneuve Basket Landes 62-58 

Sous l'impulsion d'une Emma MEESSEMAN à peine revenue de Washington, ce dont les Villeneuvoises qui ont pris les devants (7-4) mais côté landais, Naura EL GARGATI revenait dans la partie (8-8, 6'). Contrairement à ce que nous avions annoncé, Djéné DIAWARA est présente sur le parquet mais son équipe manquait de rigueur défensive (11-16, 10').

En revenant sur le banc, les Nordistes se faisaient un peu souffler dans les bronches par leur coach et cette méthode fut pour le moins payante puisqu'elles repassaient devant par Lenae WILLIAMS notamment mais il en fallait davantage pour atteindre le moral des troupes de Basket Landes (27-31, 20').

Comme souvent, Olayinka SANNI prenait les choses en mains mais encore une fois les joueuses d'Olivier LAFARGUE relançaient la machine (38-42, 25'). A cet instant,  le public parisien sentait que tout restait encore à faire même si un panier longue distance d'Anaïs LE GLUHER-CANO réveillait les foules (42-45, 28'). Aussi affûtée que lors de l'Euro avec la Suède, Elin ELDEBRINK entretenait l'espoir, suivie de "Yinka" SANNI encore elle, obligeeant le coach landais à prendre un temps mort et son équipe gardait un très léger avantage avant d'aborder les 10 dernières minutes (46-47, 30').

Le moins que l'on puisse dire, c'est que le dernier quart-temps a été très défensif puisqu'il a fallu attendre 5 minutes pour que l'ESBVA inscrive son premier panier, leur vis-à-vis n'étant pas beaucoup plus en réussite (48-50, 35'). La fatigue,Emma MEESSEMAN ne connait pas puisqu'elle permettait même aux Villeneuvoises de relancer le suspense de la fin de rencontre (52-52 puis 54-52, 37'). Même si Danielle PAGE était à la manoeuvre, elle était imitée par Laëtitia KAMBA (58-55, 39'). Obligeant leurs adversaires à faire des fautes, les Nordistes restaient concentrées mais derrière, Anaïs LE GLUHER-CANO convertissait un tir à 3 points alors qu'il ne restait que 27 secondes à jouer (60-58). Les filles de Frédéric DUSART repartaient tout de même avec les 2 points de la victoire (62-58).


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