Souvenir d’une douce soirée d’automne sur les crêtes du Jura. Les bouquetins étaient au rendez-vous, mais pas au bord du cirque où ils ont l’habitude de paître en fin de journée. Est-ce dû à la pression humaine qui augmente d’année en année qui les inciteraient à se retirer à l’écart des sentiers pédestres, où simplement à l’envie de découvrir d’autres sites de gagnage? La question est ouverte…
Neuchâtel, le 5 octobre 2013