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Getlost News actualité d’Asie revisitéeLa meth de Corée du Nord
Cette semaine des nouvelles du Japon et la nouvelle miso taxe, La meth de Corée du Nord de la bombe populaire en chine, les goulags Corée du Nord rien de à envier au camp de concentration Nazi, le procès de Bo xilai coup de théâtre pas de peine de mort une prison dorée, quelques nouvelles d’Asie du Sud, combustion spontanée en Inde, visas volés en Thaïlande et test de grossesse en Indonésie
### Japon ###
Miso tax La taxe de vente devrait bientôt passer de 5 à 8 %
Les Japonais détestent toute forme de taxes, mais détestent encore plus l’insécurité économique
### Corée ###
Breaking bad version Corée du Nord, la meth du peuple
Une des méthamphétamines les plus top vient de La Corée du Nord, acheté en gros par la Chine, mais maintenant il semble que les Nord-Coréens aient besoin de leur fix également. Au moins 40 pour cent à 50 pour cent seraient vraiment accros à la drogue.
http://busanhaps.com/article/feature-china-and-north-koreas-growing-drug-trade
Goulag de Corée du Nord pire que les camps d’Hitler
Des histoires d’horreurs d’un détecteur nord-coréennes qui vit maintenant en Corée du Sud racontent comment les gardiens de prison ont coupé le doigt d’un homme, ont forcé les détenus à manger des grenouilles, et une mère de tuer son propre enfant.
Chine ####
Le procès de Bo Xilai la corruption n’est pas exterminée.
L’ancien leader du parti régional accusé de corruption et d’abus de pouvoir va inévitablement faire face à une peine de prison. Les médias chinois voit ce procès comme un triomphe pour la campagne d’anticorruption du nouveau gouvernement.
Cas de Combustion spontanée en Inde
ABC news rapport cette semaine que les Médecins indiens enquête un semble-t-il sur un bébé qui aurait été brulé par combustion spontanée
Le bébé indien de trois mois a pris feu au moins quatre fois sans aucune cause externe évidente, ce qui conduit les médecins à enquêter sur la possibilité que l’enfant souffre d’une combustion spontanée humaine.
Après avoir été contraints de quitter leur village parce que leurs voisins craignaient que le feu de l’enfant fasse brûler leurs maisons, les parents du bébé furent déplacés vers un village voisin, puis à nouveau, avec l’aide des pouvoirs publics, à Chennai pour le traitement à l’hôpital.
L’opinion médicale au sujet de la combustion humaine spontanée est divisée, mais il y a eu quelques cas récents de premier plan. En 2011, un coroner Irlandais ont dit combustion humaine spontanée était la cause de la mort d’un homme de 76 ans. Brian J. Ford, un biologiste de recherche britannique, a écrit un article 2012 dans le New Scientist sur cette maladie.
« M. Ford a déclaré dans un email au New York Times. « Dans la plupart des exemples, il est fatal, car les cas sont trouvés après l’événement. Typiquement, il y a juste un tas de cendres avec des extrémités en saillie ».
Le New York Times a également parlé au Dr Narayan Babu, le chef de pédiatrie à Kilpauk Hospital Medical, où le bébé est traité, plus tôt cette semaine.
« Nous sommes dans un dilemme et ne sommes pas venus à une conclusion », a déclaré le Dr Narayan Babu. « Les parents ont jugé que l’enfant brûlé instantanément sans aucune provocation. Nous effectuons de nombreux tests. Nous ne disons pas qu’il est un cas de combustion spontanée jusqu’à ce que toutes les enquêtes soient terminées ».
Les étudiantes en Indonésie pourraient être contraintes de subir « tests de virginité »
L’éducation en chef Muhammad Rasyid de l’Indonésie a élaboré des plans pour « protéger les enfants contre la prostitution et le sexe libre »
Un plan visant à rendre les étudiantes des écoles secondaires subissent des tests de virginité obligatoires a été accueillie avec indignation des militants qui soutiennent qu’il est discriminatoire envers les femmes et une violation de leurs droits humains.
Éducateur en chef Muhammad Rasyid, du quartier Prabumulih dans le sud de Sumatra a avancé l’idée, le décrivant comme « un moyen précis pour protéger les enfants contre la prostitution et le sexe libre ». Il a dit qu’il allait utiliser le budget de la ville pour commencer les tests en début d’année prochaine si les députés ont approuvé la proposition.
« C’est pour leur bien », a déclaré Rasyid. « Chaque femme a le droit à la virginité … nous attendons élèves de ne pas commettre des actes négatifs. »
Le test exigerait élèves du secondaire de sexe féminin âgés de 16 à 19 pour avoir leur hymen examiné chaque année jusqu’à l’obtention du diplôme. Toutefois, les garçons feraient l’objet d’aucune enquête pour déterminer si elles avaient eu des rapports sexuels.
Le plan a rencontré un certain appui des politiciens locaux, qui a dit le test permettrait de réduire la promiscuité « rampant » dans le quartier.
« La virginité est sacrée, donc c’est une honte pour une étudiante de perdre sa virginité avant le mariage, » Hasrul Azwar du parti islamiste Justice prospère (PKS) a déclaré au Jakarta Post.
La proposition semble être en réponse à l’augmentation des cas de relations sexuelles avant le mariage, Kompas site Web local signalés, y compris la récente arrestation de six étudiants du niveau secondaire pour prostitution présumée.
Il est le troisième plan de ce type en majorité musulmane en Indonésie, où des projets similaires ont été proposés dans l’ouest de Java en 2007, et de nouveau à Sumatra en 2010, mais a chuté après un tollé général.
Les députés locaux et nationaux, des militants, des groupes de défense des droits et même le Conseil consultatif islamique local ont tous dénoncé le plan de Rasyid comme potentiellement nier étudiantes le droit universel à l’éducation, en plus de cibler les filles pour un acte qui n’auraient pas encore été consensuel, comme agression sexuelle.
« Il ya des étudiantes qui ont perdu leur virginité en raison d’un accident – ce n’est pas de leur faute », a déclaré le sud de Sumatra conseil législatif vice-président HA Djauhari médias locaux.
La Commission nationale pour la protection de l’enfance a également dénoncé le plan comme une tentative de s’attirer les « popularités » chez les conservateurs religieux, et a appelé le mouvement « excessif ».
« La perte de la virginité n’est pas seulement à cause des activités sexuelles », a déclaré Arist Merdeka Sirait de la commission. « Il pourrait être causé par le sport ou des problèmes de santé et de nombreux autres facteurs. »
L’éducation de l’Indonésie et ministre de la Culture, Muhammad Nuh, condamnent le plan et a déclaré que le district avait besoin « d’une manière plus sage d’aborder la question de la sexualité des adolescents ».
La virginité est un bien précieux parmi beaucoup d’Indonésiens, en particulier dans les zones rurales, et l’évolution rapide des mœurs dans une population de 240 millions peut parfois créer des tensions entre les aînés les plus conservateurs du pays et sa grande jeunesse, plus modérée.
L’année dernière, les législateurs proposent une interdiction de minijupes parce que « vêtements provocants rend les hommes font des choses “ alors que dans la charia-loi province d’Aceh, les femmes ont reçu l’ordre de s’asseoir côte-selle sur motos afin de mieux occulter les ‘courbes d’une le corps de la femme”.
Des visas volés en Thaïlande Thaïlande
Les fonctionnaires de l’ambassade thaïe à Kuala Lumpur a été secoués par la disparition de visa. Les enquêteurs spéciaux du ministère des Affaires étrangères et la police enquête sur les membres de l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur sur la disparition de 300 étiquettes de visa.
Département de l’information en chef adjointe Jakkrit Sriwali qualifiée jeudi les étiquettes manquantes comme une “irrégularité” causée par le personnel employé à l’ambassade malaisienne.
M. Jakkrit affirme qu’une action juridique serait prise contre les responsables, y compris les ressortissants thaïlandais.
Kimba Yaou, 35 ans, du Niger, a été arrêté par la police de l’immigration à Sadao point de contrôle dans la province de Songkla, jeudi, qu’il utilisait le visa No.A5081922 (en médaillon), qui faisait partie des visas manquants de l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur.
Les bordereaux de 300 visas ont été trouvés manquants de l’ambassade après que des agents de la police des frontières ont arrêté un ressortissant nigérien qui était sur la liste de surveillance de l’immigration.
L’arrestation du dimanche Edwin Naemeka, 35 ans, qui a exposé le scandale, a eu lieu au bureau de l’immigration Songkhla dans le district de Sadao sur la frontière entre la Thaïlande et la Malaisie, le mercredi matin.
M. Jakkrit dit que les fonctionnaires étaient au courant de la disparition des feuillets depuis un certain temps, mais l’affaire n’avait pas été rendue publique parce que le ministère des Affaires étrangères ne voulait pas que ceux qui détiennent les visas obtenus illégalement de savent qu’ils étaient sur surveillance.
Deux comités ont été mis en place pour enquêter sur l’incident, l’un par l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur et l’autre par le ministère des Affaires étrangères.
Le comité du ministère est allé à Kuala Lumpur le mois dernier pour mener son enquête, M. Jakkrit dit, ajoutant qu’ils ont constaté que les responsables du crime avaient tenté de brouiller les pistes.
Les suspects thaïlandais impliqués sont soupçonnés d’être des étrangers sans lien avec les services d’immigration, at-il ajouté. Il ya cinq employés malaisiens de la section consulaire de l’ambassade.
Vice-Premier Ministre Pracha Promnok à confirmer jeudi la perte des étiquettes de visa. Il a dit un Camerounais et un Guinéen a été capturé à l’aide de deux étiquettes de visa perdu à tenter d’entrer en Thaïlande, du Laos à travers la province de Mukdahan, le 20 juillet et 21 respectivement.
Les autorités thaïlandaises savaient que quelque chose n’allait pas parce que les étrangers n’étaient pas entrés en Malaisie, mais leurs timbres ont été marqués par l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur. Un certain nombre d’autres étrangers ont été arrêtés à l’aéroport de Suvarnabhumi en essayant d’utiliser les étiquettes de visa perdues. Ils ont été accusés en utilisant de faux documents pour entrer dans le pays et détenus au Bureau de l’immigration à Bangkok.
Pol Gen Pracha dit que les autorités ne savent pas si l’arnaque de visa est liée au terrorisme. Le ministère des Affaires étrangères a annulé les étiquettes de visa perdues, at-il dit, ajoutant qu’il espère que le ministère va trouver les coupables. Il sera important de savoir pourquoi l’escroquerie a eu lieu à l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur, at-il dit.
Immigration Bureau commissaire Pol Lt Gén Pharnu Kerdlarpphon dit 103 étrangers ont utilisé le visa pour entrer dans le pays, et 59 d’entre eux ont depuis quitté la Thaïlande.
Police de l’immigration dans Sadao district jeudi de Songkhla appréhendés Kimba Yaou, un citoyen de 35 ans, du Niger, avec un bordereau de visa perdu. Les Nigériens ont dit qu’il était un joueur de football et qu’il avait payé 1000 $ US (environ 30.000 bahts) à un courtier à Kuala Lumpur pour obtenir un visa pour lui. Il voulait entrer en Thaïlande pour visiter sa femme thaïlandaise enceinte.
Le 44 restant dans le pays inclut 26 Nigérians, six Indiens et le reste de l’Asie centrale.
Selon le commissaire, 11 étrangers ont été arrêtés avec les étiquettes de visa perdues. Ils comprennent trois Pakistanais, trois Indiens, deux Iraniens, un Camerounais, un Guinéen et un Russe. Certains d’entre eux ont dit qu’ils avaient reçu des visas devant l’ambassade de Thaïlande à Kuala Lumpur et d’autres ont dit qu’ils ont obtenu des visas en Thaïlande.
La police de l’immigration sont à la recherche d’une femme thaïlandaise identifiée seulement comme Mama qu’elle se doute de vendre une étiquette de visa perdu à la camerounaise. Détectives dit que la femme était un courtier de visa majeur en Thaïlande. Commandant de l’armée Prayuth Chan-ocha a déclaré que la perte des étiquettes de visa ne devrait pas poser de problèmes de sécurité en Thaïlande.
les fermiers manifestent dans le sud de la Thailande
Des dizaines blessés dans des affrontements que la police ne parviennent pas à briser le blocus
NAKHON Si Thammarat: Plus de 40 personnes ont été blessées lorsque la police a tenté de disperser caoutchouc protester et de l’huile de palme planteurs qui ont bloqué une partie de la route No.41 hier.
Environ 500 agriculteurs de Nakhon Si Thammarat et les provinces voisines ont organisé un barrage routier dans le district de Cha-uat environ 14 heures pour appeler le gouvernement à soutenir la chute des prix des cultures.
C’était leur troisième manifestation en un mois après leurs deux précédents rallyes, le 3 août ils n’ont pas eu de réponse concrète des pouvoirs publics.
Les agriculteurs veulent que le prix du lait en caoutchouc pour être étayé à 120 bahts le kilo et les fruits du palmier à huile à 7 bahts/kg. Le prix du lait en caoutchouc était à 68 bahts/kg hier alors que les fruits du palmier à huile étaient à 3,60 à 4,10 bahts.
Ils ont également exigé autorités de ne pas agir en justice contre les manifestants.
Environ 1.300 policiers et des bénévoles de la défense ont été déployés sur le site du rallye hier. Nakhon Si Thammarat gouverneur Viroj Jiwarangsan arrivé sur les lieux et a chargé les manifestants par haut-parleurs de rouvrir la route, mais la ils ont refusé de mettre fin au blocus que leur nombre a augmenté à plus de 600.
À propos de 15h30, la police a décidé de disperser les manifestants, qui ont résisté en jetant des pierres et des frondes de tir en direction des agents.Quarante-trois personnes, dont cinq policiers, ont été blessées dans l’affrontement, qui a duré environ 15 minutes. Les blessés ont été transportés à l’hôpital de Cha-uat.
Suite à la violence, le nombre d’agriculteurs a augmenté à environ 1000 et le blocus continue.
Nakhon Si Thammarat chef de la police Pol Maj Gen Ranapong Saikaew plus tard ordonné à la police de faire marche arrière à partir du site de protestation, permettant aux agriculteurs de continuer leur blocus.
Les affrontements ont poussé le député du NPD pour Nakhon Si Thammarat Witthaya Kaewparadai de soulever la question lors du débat budgétaire au Parlement.
Parti démocrate liste MP Jurin Laksanavisit dit le caoutchouc et les planteurs de palmiers à huile ont à plusieurs reprises demandé au premier ministre de se pencher sur leur sort, mais leurs appels sont tombés dans l’oreille d’un sourd. “Le Parlement devrait débattre des problèmes des agriculteurs au lieu d’effectuer de longs débats sur l’amnistie, la modification de la charte et aux lois de finances”, at-il dit.
M. Jurin a proposé d’ajouter l’effondrement des prix des produits agricoles comme un sujet à traiter dans l’ordre du jour de la session de la Chambre de jeudi et a demandé à Mme Yingluck pour assister à la séance.
Vice-ministre de l’Agriculture et des coopératives Varathep Ratanakorn répondu que la situation était sous contrôle et le premier ministre avait déjà instruit la police nationale, chef Adul Saengsingkaew et ministre de l’Intérieur Charupong Ruangsuwan de surveiller étroitement la situation.
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