Vérification faite en deux avec un crayon papier sur un coin de table. Le monde électro regorge de DJ, pas musiciens pour un sou, mais qui savent transformer leurs ordis en jukebox imparable. Derrière ces pépites qui, en live, font lever les bras de n’importe quel soulard soudain pris d’un élan de fraternité envers tous ses semblables, quelques producteurs de génie qui avaient à peine dix ans quand Zidane a planté deux têtes au Brésil. La preuve avec Surkin.
Surkin, Next Of Kin
Le ptit gars, aux hymnes parfois putassiers mais délicieux, est aujourd’hui demandé aux quatre coins du monde. Immédiateté du tube, saturation maximale ou gros claviers old school : voici les trois condiments qu’on trouve dans la tambouille de Surkin.
Surkin, White Knight Two
Alors après, c’est selon. Pas révolutionnaire ? D’accord. Ephémère ? Sans doute. Générationnel ? Complètement.
A vérifier à Evreux cet été pour les plus dubitatifs...