players – film
Nous sommes maintenant en automne. Les jours à rallonge sont terminés et la pluie fait son grand retour. Un temps parfait pour aller dans les salles obscures ! C’est d’ailleurs ce que j’ai fait cette semaine, ce qui m’a redonné une bouffée de soleil. Direction le Costa Rica avec Players. Au programme : Soleil, Poker et billets de banque !
Players : Synopsis
Richie, étudiant à Princeton, joue au poker en ligne pour payer ses frais de scolarité. Lorsqu’il se retrouve ruiné, persuadé d’avoir été arnaqué, il décide de s’envoler pour le Costa Rica afin de retrouver la trace d’Ivan Block, le créateur du site. Ivan prend Richie sous son aile et l’amène à intégrer son business. Sentant grandir le danger et réalisant les ambitions démesurées de son boss, Richie va tenter de renverser la donne en sa faveur.
Players : Poker menteur entre businessmen
Tout est dit plus haut : on passe rapidement des États-Unis aux îles du Pacifiques et le changement d’environnement est radical. La première partie n’est en fait qu’un prétexte pour le reste. On suit donc la vie d’un jeune consultant en marketing se transformant rapidement en mafieux. Après avoir commencé par de la négociation commerciale et une montée en compétences assez rapide, Richie use de moyens plus de en plus douteux afin de signer les contrats. La confiance accordée par son boss, Ivan Block, s’assombrit aussi…
On retrouve les classiques du film : le duel du méchant contre le gentil, avec au milieu la fille. Évidemment elle tombe amoureuse de Richie et retourne sa veste. Bref, rien de nouveau sous les cocotiers. Les stratégies adoptées sont assez grossières et les clichés sont là.
Players : Le bluff dans la réalisation
Le téléguidé n’est pas la seule caractéristique du film. On peut en effet noter le manque d’assurance de Justin Timberlake qui, même s’il parait adapté au personnage, n’arrive pas à le faire transcender. Idem pour Ben Affleck qui joue au gros dur de manière beaucoup trop froide. Aucun changement de tempérament entre le début du film où il est censé être « sympa » et la seconde moitié où la tension doit monter. Pour en finir avec les acteurs, Gemma Arterton reste dans le rôle de la secrétaire pin’up sans grand intérêt. Elle brille par contre par son côté « physiquement intelligente ».
Players: Pour conclure
Même si mes dernières phrases tranchent dans le vif, on ne peut pas dire que ce soit un mauvais film. On ne s’ennuie pas vraiment en le regardant… C’est juste qu’on attend toujours le truc en plus, le petit coup de théâtre qui fera que. Le casting présenté ici m’a fait espérer quelque chose d’autre, de plus prenant aux tripes, tel le stress qu’on peut ressentir lors d’une partie de poker.
Players – critique du filmNous sommes maintenant en automne. Les jours à rallonge sont terminés et la pluie fait son grand retour. Un temps parfait pour aller dans les salles obscures ! C’est d’ailleurs ce que j’ai fait cette semaine, ce qui m’a redonné une bouffée de soleil. Direction le Costa Rica avec Players. Au programme : Soleil, Poker …
Vue d'ensemble des tests
Interprétation
Réalisation
63Résumé : Bien qu'on ne le retiendra pas comme prétendant au film de l'année, il remplit sa mission, à savoir de nous faire passer le temps à cerveau débranché.
63 players2013-10-02Mister_G