Pour lire l'article sur le blog: «Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que je voudrais faire ce que je m’apprête à faire aujourd’hui ?»
Le premier livre de la trilogie, Faites ce que vous aimez, est maintenant en cours de traduction et sera publié au fur et à mesure sur le blog pour vous aider à vivre vos passions.
Une des choses les plus tragiques que je connaisse de la nature humaine, c’est que nous avons tous tendance à remettre de vivre. Nous rêvons tous d’une roseraie magique à l’horizon—au lieu de profiter des roses qui s’épanouissent sous notre fenêtre aujourd’hui.
- Dale Carnegie
Le célèbre visionnaire d’Apple Steve Jobs a partagé, avant de mourir, ses conseils de vie lors d’un discours d’ouverture de l’Université de Stanford. Ses conseils ajustent le regard sur uniquement faire ce qu’on aime à travers sa vie. Cette présentation envoûte la communauté et la vidéo est encore parmi les plus populaires à ce jour.
À l’aube, jour après jour, Steve Jobs se regarde dans le miroir. Plutôt que de seulement vérifier s’il est présentable comme le font la plupart d’entre nous à la sortie du lit, il se confronte, «Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que je voudrais faire ce que je m’apprête à faire aujourd’hui ?» Si la réponse est négative pendant quelques jours de suite, il sait qu’il doit changer son quotidien. Plutôt que de rester coincé dans la routine, il sait que chaque journée qui éclos est pleine de possibilités d’épanouissement et de merveilles.
Son histoire fascinante démontre que nous pouvons pouvez réussir à ne faire que ce que nous aimons. Nous devons le remercier d’avoir partagée cette découverte. Pour marcher dans les pas de ce géant, peut-être que comme moi, vous allez aussi maintenant adopter son rituel matinal quotidien pour accomplir de grandes choses que vous adorez.
Son histoire souligne également avec sa mort prématurée l’importance du moment présent pour faire ce que nous aimons et de laisser notre héritage, car un jour, nous allons tous quitter cette Terre. La vie peut se terminer à tout instant et nous nous devons de sentir les roses de la vie pendant qu’on le peut encore, et de laisser sur notre passage des paysages grandioses.
Je garde cela en mémoire, et peut-être devriez-vous le faire aussi, pour aborder la façon de choisir un mode de vie parfait pour soi. Une fois que je sais ce secret, ou plutôt il semble que je me rappelle cette vérité simple car les enfants savent comment être heureux dans le moment présent, cela change ma vision de la vie. Cette découverte lumineuse m’éblouie après des années de rêverie, de planification et d’essais de faire arriver mon avenir comme je le veux, de vivre pour un autre moment, le regard incrédule de laisser quelque chose de si fondamental m’échapper. L’avenir n’est pas où le bonheur se situe—qui sait si nous nous rendrons à ce moment?
Ces lettres sont maintenant tatouées sur mon avant-bras pour ancrer où le bonheur est désormais (où a toujours été): juste être, ici, maintenant, heureuse d’être. Notre vie de rêve n’est ni dans l’avenir flou, ni dans un passé même heureux, car elle n’a pas de réalité concrète dans ces moments illusoires. Notre vie de rêve est ici, possible en ce moment. Elle est rendue possible maintenant par le choix d’expérimenter le monde, comme le choix d’être tout simplement heureux dans le courant de la vie ou de souffrir à contre-courant.
Cela ébranle notre pensée moderne, inspirée par la notion du Rêve américain, que nous devons attraper ce moqueur fuyant qu’on appelle le bonheur. Il n’y a pas de « poursuite » du bonheur; comme le dit le bouddhisme, il est toujours en nous. Henry David Thoreau explique, «Vous devez vivre dans le présent, vous lancer sur chaque vague, trouver votre éternité dans chaque instant. Les fous se tiennent sur leur île d’opportunités et regardent vers une autre terre. Il n’y a pas d’autre terre, il n’y a pas d’autre vie que celle-ci».
Jour après jour, dans nos sociétés modernes, nous avons la sensation de ne pas avoir de temps ou que de faire ce qu’on aime quotidiennement est une utopie. Nous bourdonnons d’activités dans une course folle; nous nous créons des obligations de survie, respect des normes social, de nécessité de transport, d’achat, d’avancement de projets, ou de ménage de nos possessions. Nous sommes tellement occupés, presqu’artificiellement, tout en rêvant d’un avenir meilleur, que nous oublions que c’est maintenant où tout se passe. Nous oublions de nous dire « Stop! », d’avoir un face-à-face honnête, et de nous rendre compte que nous avons le choix maintenant d’être heureux. Maintenant est le temps de faire ce que nous aimons. Plusieurs grands de ce monde nous l’ont démontré, à nous de prendre nos responsabilités et d’y arriver.
Quelle est la différence entre quelqu’un qui a le meilleur temps de sa vie, et quelqu’un à qui cela lui échappe? L’appréciation du présent, des fleurs embaumant sous son nez. À partir de cela il y a divers degrés de bonheur, comme aimer davantage notre carrière et nos relations, ou d’approfondir nos passions. La notion de degrés n’est de ne pas d’avoir plus, d’activités, de matériel ou de personnes, dans notre existence, ni que nous ne pouvons atteindre les premiers niveaux enivrants tout de suite. Je trouve que plus que nous sommes prêts à laisser aller de notre attachement à une destinée matérialiste ou future, plus nous sommes heureux. Le bonheur voyage sur un chemin d’amour, de simplicité et d’éternité; il est un moment présent perpétuel. Le plus purement nous nous engageons à faire ce que nous aimons, plus il y aura des degrés avancés d’amour dans notre mode de vie. Par conséquent, nous devons commencer ici et maintenant à aimer notre vie avec passion. Êtes-vous prêt à y œuvrer aussi?
Merci de lire! L'article «Si aujourd’hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que je voudrais faire ce que je m’apprête à faire aujourd’hui ?» est apparu d'abord sur Design de vie zen.