Baby balloon, c’est Bici, Bici and the Bitches, c’est son groupe rock, dans lequel elle excelle. Accessoirement, son meilleur ami, Vince, en est le guitariste, et toujours accessoirement, elle aimerait qu’il soit plus que son meilleur ami. Elle en rêve. Un tout gros rêve, aussi dilaté que ses formes le sont…
Jusqu’à ce qu’Anita débarque. La mince Anita, dont Vince tombe immédiatement sous le charme, au grand dam de Bici.
Autour d’eux gravitent des personnages hauts en couleurs, telle la mère de Bici, que l’on dirait castratrice si Bici était un homme, mais castratrice quand même.
Voilà un film plein d’humour, qui aborde délicatement mais avec force en même temps, va comprendre, c’est ça le talent j’imagine, les difficultés de la fin d’adolescence, le tout sur un fond musical parfaitement adapté.
Quand la musique permet de s’exprimer, cela fait un film vraiment réussi…
Dommage que les chansons n’étaient pas sous-titrées pour les non-anglophones, car elles prennent vraiment tout leur sens dans l’histoire. Elles sont superbes, interprétées avec brio, et j’ai encore en tête actuellement « I don’t mind, I don’t mind, I don’t mind… » (écrite par Claire de Namur).
Baby balloon, c’est Bici, Bici and the Bitches, c’est son groupe rock, dans lequel elle excelle. Accessoirement, son meilleur ami, Vince, en est le guitariste, et toujours accessoirement, elle aimerait qu’il soit plus que son meilleur ami. Elle en rêve. Un tout gros rêve, aussi dilaté que ses formes le sont…
Jusqu’à ce qu’Anita débarque. La mince Anita, dont Vince tombe immédiatement sous le charme, au grand dam de Bici.
Autour d’eux gravitent des personnages hauts en couleurs, telle la mère de Bici, que l’on dirait castratrice si Bici était un homme, mais castratrice quand même.
Voilà un film plein d’humour, qui aborde délicatement mais avec force en même temps, va comprendre, c’est ça le talent j’imagine, les difficultés de la fin d’adolescence, le tout sur un fond musical parfaitement adapté.
Quand la musique permet de s’exprimer, cela fait un film vraiment réussi…
Dommage que les chansons n’étaient pas sous-titrées pour les non-anglophones, car elles prennent vraiment tout leur sens dans l’histoire. Elles sont superbes, interprétées avec brio, et j’ai encore en tête actuellement « I don’t mind, I don’t mind, I don’t mind… » (écrite par Claire de Namur).