Après le web interactif, voici l'émergence du web participatif. L'internaute n'est plus le simple consommateur, il devient producteur de contenus et s'attend désormais à être pris pleinement en considération sur la toile.
Dans l'ère des nouvelles technologies, les organisations doivent se tenir perpétuellement au courant des bonnes pratiques et accompagner les nouveaux usages en les assimilant. « Ce qui est intéressant en matière de communication sur les réseaux sociaux, c'est que tout est en permanence à réinventer. Les usages évoluent extrêmement vite, de même que les outils et les technologies », note l'étude RCA Factory.
Ce challenge d'adaptation incessante à l'innovation transposé au domaine de la culture, auquel ce cumul les importants coûts d'entrée liés à activité, rend la structure du marché oligopolistique. Sous l'effet de ces deux facteurs, la contrainte financière pousse à la concentration du marché.
Côté demande en revanche on distingue plusieurs segments de marché. Les catégories d'âge de population présentent 4 profils-types: la génération de la seconde guerre mondiale, la portée du baby-boom, les jeunes des années 7O et 80, et enfin ceux qu'on appelle aussi « les digital natives ». Ces derniers sont totalement acculturés à l'univers web et s'apparentent à ceux que les sociologues nomment « génération Y ».
Dans l'étude réalisée avec le ministère de la Culture et publiée par les éditions, La Découverte, on constate une légère érosion de la télévision au profit de l'ordinateur : Pratiques culturelles des Français à l'ère numérique. Il est loin le temps où l'on considérait que la télévision allait porter préjudice à la culture. Avec les importantes innovations des dernières décennies les pratiques évoluent, mais les débats restent !
Il faut parfois accompagner le changement, le temps de trouver les bons modèles économiques.