Elie Semoun : l'âne et l'avoine

Par Sergeuleski

   Ou quand Elie Semoun feint de ne pas comprendre l'engagement de Dieudonné - y compris celui qui fut le sien voilà quelques années déjà : c'était à Dreux... contre le FN...

Un Elie Semoun qui lave plus blanc jour après jour et qui vient là, face aux médias, mordre une nouvelle fois la poussière - celle de l'auto-humiliation : allégeance, hommage lige, un genoux à terre puis deux, tête baissée  -, sans doute dans l'espoir de continuer de prendre un peu de blé (business-show oblige !)  et de faire rire un public qui, année après année, se raréfie... l'Art de Dieudonné ayant relégué tous ces comiques de surface sans fond au rang d'amuseurs à l'humour... que c'est pas la peine.

Jamais un humoriste (ancien partenaire de scène de Dieudonné) n'aura à ce point pratiqué ce qu'il est maintenant convenu d'appeler : l'auto-abaissement volontaire, le fond de culotte humide et lourd.

Mais alors... qui passera la serpillière derrière lui ?

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