Faut-il vivre ces jours pour éradiquer toute cette violence,
En chacun comme innée œuvre-t-elle,
Implacable geôlière d’un cœur qui en pleure,
Qui se rend à une indispensable patience,
Quitte à vivre tant de souffrance,
Ainsi serait l’intérêt de cette existence,
Exorciser cette tenace folie et rendre enfin à l’aube d’une nouvelle éternité,
Gloire et vérité à ce divin amour,
Si précieux héritage enfin reconnu inestimable don de la source bienheureuse,
Enfants du bonheur prendrons-nous conscience d’être alors,
Plus de violence,rendue aux seules annales,
Oui ainsi l’œuvre des jours.