QUE DIRE DE NOS VIES ? En CeTTE FIN DES TEMPS,
Le printemps qui fleurit apporte ses couleurs,
vide des ultimes frimats de l'hiver présent!
ma candeur est immense dans ce grand océan;
je ne peux que survivre car le mal est grand;
la souffrance me ronge, obscurcit l'avenir
je regarde devant refus du souvenir!
et de mille attraits les minutes s'gitent
le départ est proche vers le grand mystère;
les murs enserrés et d'un aspect austére
me pèsent et s'agitent: Le grand moment arrive
de c e monde surfait je combats les eaux vives
par ces mots et ces vers que rien ne désespère
je surfe du néant dans la beauté nuptiale.