Coucou les amis!
Vous en conviendrez aisément, il était temps que je sorte de la torpeur dans laquelle la rentrée m’avait plongée. Okay, je passe énormément de temps sur mon TFE pour dégager le plus le travail avant mes stages qui accourent à grandes enjambées (ooh dear), mais ce n’est pas une raison pour délaisser mes lecteurs adorés.
Alors, dimanche dernier, Downton Abbey a remis le couvert de son univers totalement vintage et adorable, et voilà que je me suis surprise à pleurer et à rigoler toute seule comme une quiche devant ce premier opus.
Let’s ring the bell, shall we?
Alors, lorsque nous avions laissé la maisonnée Grantham à la fin de l’année dernière, certaines choses avaient fortement chamboulé l’ordre de la famille.
D’abord, bien sûr, Matthew était mort dans un stupide accident de voiture, laissant Mary l’attendre avec leur nouveau-né dans les bras.
Lorsque nous retrouvons Mary six mois plus tard, elle est trèèèèès loin d’aller mieux.
En fait, on peut dire qu’elle a décidé de se laisser vivre. Sans plus.
Résultat: bébé George (oui, je trouve ça aussi bizarre comme coïncidence) se retrouve sans mère, ou presque, les quelques fois qu’elle s’autorise à le prendre dans ses bras pour lui susurrer un adorable "pauvre orphelin" avant de le rendre à sa nounou.
Heureusement, j’ai envie de dire, que des gens comme Anna, Tom ou Carson (surtout Carson) existent pour la secouer un grand coup.
Et de l’autre côté du village, ça ne va pas mieux. Isobel est anéantie après la mort de son fils unique, et dit même à Violet que "Lorsqu’on n’a plus d’enfants, on n’est plus une mère". Et, ce coup-là, c’est à Mrs Hughes qu’on doit la résurrection de la super Mamy.
Parce qu’elle sera une super Mamy, Isobel. J’en mettrais ma main à couper.
Le deuxième changement, c’était l’arrivée à Downton de Rose Flintshire, la nièce de Robert, qui allait ainsi par sa fraicheur et sa candeur remplacer Sybil comme personnage rebelle.
Et Rose commence bien. Elle prend les choses en main et veut se rendre utile, honteuse et un peu coupable du départ de Miss O’Brien qui a déserté le cocon pour aller s’enterrer en Inde. Ce qui n’a pas plu à Cora. Du tout.
Et dernier changement: nous avions rencontré une jeune femme de chambre un peu arrogante et ambitieuse du nom de Edna.
Souvenez-vous, elle avait séduit Tom (ou essayé en tout cas) pour tenter de se payer une part du gâteau. Mrs Hughes s’était empressée de la renvoyer.
Mauvaise nouvelle: elle est de retour!
Cette fois, la perfide a réussi le tour de force de se faire engager comme lady’s maid pour le compte de Cora.
Et Carson, Mrs Hughes et Tom ne sont pas vraiment ravis…
Dans cet épisode, on retrouve aussi nos préférés de downstairs, pour moi, Bates et Anna, toujours aussi trognons…
Daisy, en mal d’amour, qui reçoit une carte pour la Saint-Valentin sans savoir que ce n’est pas son cher Alfred qui la lui a envoyée…
Et mon cher Thomas, qui retourne à ses travers de manipulateur de merde (mais qui lui en voudrait encore, hein?), mais qui cette fois tombe bien, parce qu’en effet, la nounou était une grosse connasse.
Et puis, faut pas toucher à Miss Sybbie quand Tonton Thomas est dans les parages. Il mord…
Sans oublier qu’Edith coule à présent des jours heureux avec Michael Gregson, et que même si cet imbécile veut se faire naturaliser Allemand pour pouvoir l’épouser, je suis contente.
Et voilà!
Un retour attendu qui ne m’a pas déçue une seule seconde…
Mais qui m’a fait verser pas mal de larmes…
Il avait qu’à pas crever, aussi, cet imbécile!