Il fallait vraiment en avoir dans le ventre pour interpeller Mustapha RAMID, ministre PJD de la Justice et des Libertés à propos de l’affaire Ali Anouzla en lui balançant à la figure un SMS aussi direct que celui que le twetteur @VanPetio lui a envoyé!
J’oubliais le SMS que je lui ai envoyé disait: Mr Ramid ne reniez pas votre passé Liberez Anouzla Ou Demissionnez !
— Aziz Rahel (@VanPetio) September 25, 2013
De ce message émanant d’un simple citoyen – je peux en témoigner : @VanPetio est un citoyen tout à fait normal, ne cherchant ni la gloire ni la notorioté, animé d’un amour infini pour ce pays – est née une discussion avec le ministre et qui est rapportée par @vanpetio dans différents twetts que je vous invite à lire!
Je connais @vanpetio depuis des lustres, je l’apprécie et nous ne sommes pas souvent d’accord sur beaucoup de sujets : heureusement, nous nous retrouvons sur l’amour du Maroc et sur d’autres sujets plus légers, qui vont de notre “barcelonite” aigue à l’appréciation de Renaud et Brel, en passant par la lecture en général!
Un citoyen qui arrive à faire parler un ministre sur un sujet qui agite le microcosme médiatique et le nanocosme des réseaux sociaux, est un événement en soi!
Que ce citoyen arrive à obtenir d’un ministre en exercices des réponses précises et sans détour à des questions précises et sans détour est encore plus remarquable!
Je connais pas de journalistes professionnel qui aurait obtenu une interview de trente minutes avec Mustafa Ramid, sans passer par le circuit habituel et sans se plier aux règles habituelles en la matière.
Lisez ce que @vanpetio a appelé le “compte-rendu” de son entretien en off avec Mustafa Ramid! Cela vaut le détour.