Bénéficiant de l'assistance d'experts de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC), l'équipe a pu se rendre le mois dernier en Syrie, où elle a réuni "des preuves claires et convaincantes" de l'utilisation du gaz sarin lors d'un incident, le 21 août, à la Ghouta, en banlieue de Damas, où des centaines de personnes auraient trouvé la mort.
La responsabilité de la vérification de l'inventaire et de l'élimination des stocks d'armes chimiques syriens incombe à l'OIAC, a déclaré le porte-parole, en précisant que cette tâche ne fait pas partie du mandat de l'équipe de l'ONU. La décision des autorités marocaines de placer le journaliste et rédacteur en chef Ali Anouzla e...