D’autant qu’elle semble elle-même, malgré les buts lointains qu’elle se fixe, encore très éloignée de ceux-ci. « Me mettre à la place du père. Etre de l’autre côté. Du miroir comme de l’arme. Etre celui qui décharge. » Plusieurs fois, elle rappelle qu’il s’agit du récit de sa propre Apocalypse. La sienne ! Que personne ne s’avise de la lui emprunter ! Car la violence verbale perce entre les phrases, elle cogne et cogne. Cette littérature inconfortable est de celles qui fouettent sans artifices érotiques, et qui remuent jusqu’à ce qu’on pensait endormi à jamais.
D’autant qu’elle semble elle-même, malgré les buts lointains qu’elle se fixe, encore très éloignée de ceux-ci. « Me mettre à la place du père. Etre de l’autre côté. Du miroir comme de l’arme. Etre celui qui décharge. » Plusieurs fois, elle rappelle qu’il s’agit du récit de sa propre Apocalypse. La sienne ! Que personne ne s’avise de la lui emprunter ! Car la violence verbale perce entre les phrases, elle cogne et cogne. Cette littérature inconfortable est de celles qui fouettent sans artifices érotiques, et qui remuent jusqu’à ce qu’on pensait endormi à jamais.