Rappelons aussi, le développement de cette équipe de l’Université Jadavpur à Calcutta qui, à partir de l’image unique des vaisseaux sanguins situés juste sous la peau du visage avait imaginé une empreinte biométrique basée sur la reconnaissance faciale thermique. Mais c’était sans prendre en compte la dimension interactive.
EEG + Bluetooth : Ces jeunes chercheurs de la société Bionym, alors spécialisés en biométrie et en technologie d’authentification pour l’électronique grand public avaient remarqué la masse croissante d’informations sensibles en ligne, accessibles via toutes sortes de dispositifs et via toutes sortes d’accès. Ils ont donc conçu le « nymi », un bracelet qui utilise, grâce à un capteur intégré, un mini-ECG pour s’authentifier. Le dispositif confirme l’identité de l’utilisateur via Bluetooth à tous les appareils, contournant les modes d’accès standards.
Tout un environnement dynamique et interactif : Mais ce n’est pas tout, le nymi grâce à un système de détection de mouvement et de détection de proximité permet à ses utilisateurs d’exécuter des commandes à distance, via des gestes spécifiques. Ainsi, une simple torsion du poignet pourrait suffire et à s’authentifier et à déverrouiller la porte de sa voiture. C’est un véritable environnement dynamique et interactif qui se construit, au gré de chacun, autour d’un « simple » objet biométrique personnalisé.
Source: Bionym
IDENTITÉ: La prochaine empreinte biométrique sera sous-cutanée –