Posté par fdesbordes dans : humeurs et deshumeurs existencielles , trackback
Et bien voilà, c'est bien ma veine chers blogonautes, aujourd'hui je me tape un mal de crâne de derrière les fagots suite à une soirée échevelé entre amis où, comme à mon habitude j'ai dit n'importe quoi, n'importe comment, un peu comme dans un bon gros plat de couscous : faut trier...
Tout est parti du fait que je me retrouve toujours à être l'équivalent de Georges, le yéti de la pub Tic/tac. Georges est super sympa. Plein de poil, réconfortant, agréable, serviable et tellement gentil... Mais Georges n'est pas entreprenant. Georges se contente d'être une sorte de bisounours géant. Je suis comme Georges. D'ailleurs vous pouvez m'appeler Georgie le télétubbies. Je me vois bien parader dans mon beau costume violet, ou vert, ou jaune et danser autour d'un gros pot de fleur en plastique en chantant " you're so beautifuuuuuullll " à une fille qui me plaît. Aucune crédibilité.
Et puis hier, pour je ne sais quelle raison, Georges a disparu et je me suis mise à parler, parler, parler... Tant et si bien qu'à la fin j'ai compris que je m'étais vraiment plantée. Il semblerait que les filles aiment qu'on les chasse. Pas de bol, je n'ai jamais fait de safari de ma vie. Moi je fais plutôt dans la lionne feignasse : même quand y'a une belle antilope dans les parages, je me dors la pilule au soleil avec l'illusion imbécile que l'antilope viendra d'elle-même à portée de patte. Dramatique. A hurler de rire.
Bon sinon, à la fin de la soirée j'ai fait l'équilibriste sur mon scooter et j'ai failli écrabouiller une prostituée. Me suis bien amusée.
Voir mon pote Georges le yéti dans la pub tic/tac et militer au sein du très sérieux FLGY (front de libération de Georges le Yéti)